1. Bad day


    Datte: 10/10/2019, Catégories: fh, médical, bizarre, hotel, fdomine, Oral pénétratio, attache, Humour policier, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... espiègles et moqueurs m’inquiètent presque.
    
    — Mais s’il vous prenait la mauvaise idée de fuir, je vous tire dans les jambes. Et vous avez vu, je vise bien…
    
    ***
    
    Après quelques minutes de trajet, la belle inspectrice Johanna Stun me fait descendre de la berline noire impersonnelle qu’elle a conduite à toute allure à travers les faubourgs pourtant encombrés. Elle me passe finalement une menotte et m’entraîne vers l’entrée d’un immeuble minable.
    
    — Où allons-nous ?
    — Chez moi. Vous y serez en sécurité.
    — Je sais pas si c’est bien réglementaire, ça…
    — Vous préférez le central de police ? Ou les bureaux de la Camora ?
    
    Je garde évidemment le silence.
    
    — Votre histoire de millions m’intéresse, chuchote-t-elle.
    
    Je la contemple, abasourdi. Elle m’adresse un sourire mutin et me dévore de ses yeux flamboyants, avant de reprendre :
    
    — Et puis il y a autre chose qui m’intéresse…
    
    ***
    
    — Vous comprenez bien que je doive vous attacher, Gufti, n’est-ce pas ?
    
    Ça ne m’amuse pas franchement d’être menotté à un fauteuil, surtout avec mon plâtre, mais, oui, ça, à la rigueur, je le comprends à peu près. Ce que je ne capte pas, c’est plutôt pourquoi elle se désape lentement devant moi… Son chemisier, d’abord, qui révèle un push-up noir comprimant ses deux seins merveilleux… Son jean et sa culotte, ensuite… Ses cuisses magnifiques et ses courbes enchanteresses qu’elle effleure en se déhanchant langoureusement…
    
    — Je vous plais, Gufti ?
    
    J’ai beau être convalescent, ...
    ... l’effet est très net. Elle s’approche pour le constater d’une main entre mes jambes, puis continue un instant à se caresser, libérant sa lourde poitrine à quelques centimètres de mon visage, avant de s’agenouiller devant moi pour déboutonner et abaisser mon pantalon.
    
    — Hmmm ! Et ça non plus, ça n’est pas très réglementaire… chuchote-t-elle en extirpant ma queue bandée à tout rompre. Il ne faut pas un permis pour un engin de cette taille ?
    
    Je soupire d’envie et de désir.
    
    — En tout cas, je vais me régaler !
    
    Elle me suce quelques minutes avec passion, se délectant de mes gémissements d’extase, puis se redresse pour venir s’asseoir à califourchon sur mes cuisses, s’empalant d’un mouvement puissant sur mon sexe qu’elle a maintenu tendu au-dessous de son corps.
    
    ***
    
    — Aaaahh ! J’ai vraiment adoré !
    
    Je peine à m’en remettre, remarque. L’insatiable inspectrice en connaît un rayon, niveau cul. Et toujours, je peine à gauler pourquoi elle fait ça.
    
    — Ça fait longtemps que j’avais pas pris un tel pied. Mais remarquez, avec une bite comme ça, vous n’avez pas beaucoup de mérite…
    
    La salope me pique au vif.
    
    — Détache-moi et je te ferai jouir dix fois plus que ça !
    — Hmmm… mouais, on verra ce soir.
    — Hein ? Mais tu vas me garder là jusqu’à quand ?
    
    Elle prend soudain un air sombre et me répond d’une voix sévère :
    
    — Jusqu’à ce que vous m’ayez rendu les soixante-dix millions !
    — Hein ?
    
    Je capte pas, là. Je suis pris d’un grand coup de flippe, même.
    
    — ...
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