1. Bad day


    Datte: 10/10/2019, Catégories: fh, médical, bizarre, hotel, fdomine, Oral pénétratio, attache, Humour policier, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... Que… tu… vous… qui êtes-vous ?
    
    Elle éclate de rire devant la tronche décontenancée que je dois lui afficher.
    
    — Je m’appelle Johanna, je vous l’ai dit. Mais je ne suis pas vraiment inspectrice de police… En fait, je travaille pour l’organisation que vous avez eu l’affront de voler.
    — Mais… je…
    
    Je suis interrompu par un bruit de porte. Cinq types entrent soudain, affublés de grosses lunettes et d’impers noirs. L’un d’eux, un petit vieux excité qui doit probablement être le chef, se marre en matant ma bite, et m’explique ensuite calmement :
    
    — Notre belle Johanna prend beaucoup de plaisir à baiser avec nos condamnés à mort.
    
    Je déglutis pesamment.
    
    — C’est dommage, apprécie justement celle-ci en tournant les talons, il avait une belle queue…
    — Tu la veux, sa bite ? s’enflamme le gradé en sortant un monstrueux cran d’arrêt et en s’approchant de moi.
    — Aa… aaa… attendez… c’est une erreur ! Je ne suis pas celui que vous croyez !
    
    Le type s’avance encore et pointe son couteau contre ma gorge.
    
    — Écoute, petit, je vais t’offrir une chance de garder ta bite encore un peu. Je te donne une heure pour me restituer mes soixante-dix millions.
    — Mais… je… c’est… je n’ai pas cet argent ! Ce sont mes amis qui l’avaient et… et ils sont morts !
    — Je te donne une heure.
    
    Putain ! Merde ! J’ai pas ce fric ! On avait chacun notre part. Aucun ne savait ce que les autres avaient fait de leur pognon.
    
    — Les gars, je vous le laisse, beugle encore le petit mafieux à ses ...
    ... gorilles. Faites ce que vous voulez, relayez-vous pour le sodomiser si vous voulez, mais dans une heure je veux qu’il ait parlé. Pendant ce temps, je vais discuter un peu avec Johanna…
    
    Et ce disant, il met une main au cul de la belle avant de s’éloigner avec elle vers une pièce voisine. Je regarde l’un après l’autre les quatre lascars qu’on m’a laissés pour compagnie. Ils ont l’air horriblement cons. Je suis presque sûr que je vais passer une mauvaise heure. Et quand je pense à l’autre petit gland qui va aller se taper la bonnasse pendant qu’on va me défoncer la gueule, ou peut-être même le cul…
    
    ***
    
    — Aaaargggh !
    
    Et putain de merde ! Encore une mandale ! Ces connards ne cognent pas pour rire ! En plus de mon bras dans le plâtre et de mon crâne emmitouflé, j’ai maintenant la tronche en sang, la mâchoire et le bide en vrac, et sans doute des côtes pétées. Et pendant ce temps-là, on entend gémir d’extase dans la pièce voisine. Quand il aura fini de se vider les burnes, le trouduc reviendra sans doute pour m’achever si j’ai rien à lui dire.
    
    — A… attendez, arrêtez ! Je vais tout vous dire !
    
    Blam ! Et j’en reprends une ! Ces blaireaux doivent être sourds, ou alors ça les éclate vraiment !
    
    — Arrêtez, je vous dis ! C’est bon ! Je vais parler !
    — Alors qu’on commence à peine à s’amuser…
    — Allez, vas-y, on t’écoute.
    
    Faut que je pipeaute. N’importe quoi, c’est pas grave.
    
    — Le fric, il est sur un compte.
    — Et où ça ?
    
    Sblang ! Ils m’en remettent une pour faire ...
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