1. Les hommes sont des salauds


    Datte: 10/10/2019, Catégories: fh, hplusag, extracon, piscine, Collègues / Travail collection, intermast, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Mamadou, Source: Revebebe

    ... effectivement remarqué que le maître-nageur avait un comportement des plus bizarres depuis quelques temps mais sans y donner plus d’attention qu’à autre chose ; je ne le connaissais pour ainsi dire pas, alors…
    
    Il bandait ? Le sésame aiguisa ma vigilance, mais pour être sincère je ne vis rien, le type portait un peignoir.
    
    — Justement, c’est pour cacher qu’il bande. Je suis sûre que je lui fais de l’effet.
    
    L’opinion de mon amie me laissa perplexe, j’avais de bonnes raisons de douter de son discernement vu que je savais qu’elle en pinçait pour le larron. Dès lors cependant, je fus plus attentive.
    
    Inutile de m’étendre sur mes ruses de sioux, j’eus la confirmation indubitable que le bonhomme bandait et même sacrément.
    
    Cela dit, j’avais quand même du mal à admettre qu’Isabelle fut la cause de cette manifestation en tout point remarquable. La nana était plutôt du genre haridelle, un genre à faire débander plutôt que le contraire, si vous voyez ce que je veux dire.
    
    J’en étais venue à faire des hypothèses dont une au moins considérait que je puisse être à l’origine de l’émoi du bonhomme mais je restai malgré tout dubitative. Si je me savais bandante, sans fausse modestie, il restait que ce n’était pas nouveau, or le phénomène était récent.
    
    La réponse vint plus vite que je ne pensais, c’était un lundi vers la mi-juin, le gugusse me coinça à la sortie des vestiaires.
    
    — J’ai pensé à toi tout le week-end, c’est plus possible, attaqua-t-il.
    — Mais…
    
    Il m’avait ...
    ... acculée contre la cloison.
    
    — Jamais aucune femme ne m’a bouffé la tête comme tu le fais.
    — Mais Monsieur…
    
    Son attitude n’était pas réellement agressive. Il avait plutôt l’air égaré.
    
    — Il faut que tu fasses quelque chose, poursuivit-il.
    — Mais Monsieur… protestai-je encore, sans savoir quoi dire ni quoi faire.
    — Je peux même plus baiser avec ma femme sans penser à toi…
    
    Effectivement, son cas était grave. J’avais plus envie de pouffer que de le plaindre. En même temps, je ressentais une certaine jubilation. Quelle femme resterait insensible face à une passion si démente ?
    
    — Regarde cet escalier ! Imagine-toi que depuis deux semaines, dix-sept jours exactement, je reluque ton petit cul tout blanc, marche après marche, tous les jours, absolument tous les jours, sauf le dimanche. J’en deviens fou, il faut que ça cesse.
    
    Qu’il me sache nue sous ma robe m’émoustillait plutôt. C’était effectivement mon habitude, je quittais la piscine en faisant l’impasse des sous-vêtements, faute de rechange.
    
    Son égarement m’attendrissait aussi. Était-ce suffisant ?
    
    Pourquoi ? Pourquoi donc avais-je réagi comme cela ? Je ne me souviens pas et franchement aujourd’hui quand j’écris cela, trente ans après, je ne m’explique pas.
    
    Le mal rodait dans les parages…
    
    Une pulsion, une pulsion irrépressible fit que je me pendis à son cou et l’embrassai, frottant outrageusement mon ventre contre son sexe turgescent.
    
    Notre étreinte fut sauvage et expéditive. Il me défonça avec plus ...
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