1. L À utre Eurydice


    Datte: 09/10/2019, Catégories: Anal Humour Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... savourais les saillies, les veinules et l’incarnat rouge des ongles. Je faillis avouer que cela me procurait maintenant une indéfectible érection. Elle lut cela en mon regard. Son sourire était du coup devenu vicieux. Il lui était sûrement établi que je serais ce soir le type qui la sauterait. Elle me trouvait sympa et s'en réjouissait. Parfaisant son geste elle écarta subrepticement ses cuisses afin qu'en un regard plongeant je pus me repaître de son sexe.
    
    J'eus un pincement au cœur. Il n'était pas exclu que ce genre de garce ne portât pas de culotte. Fort heureusement celle-ci gonflée d'un sexe lourd était couleur lilas et cependant d'une transparence coupable au point qu’aucun aspect de la chatte n'en fut omis. Même de rares poils pubiens vous adressaient de loin un signe mutin. Je marquais sans doute trop ma stupéfaction car elle partit d'un long éclat de rire ajoutant : « Gare monsieur à l'apoplexie ! » Je m'assurais par un regard autour qu'on n'avait surprit mon grand émoi. Elle flegmatique conservait toujours ses cuisses ouvertes.
    
    Elle se voulait assurer que je me rinças l’œil et bandât comme un forcené. Elle caressât avec la main son pied. Je pense qu'elle eût voulu une telle caresse de moi et à défaut s'y employait elle-même. Elle avait par trop envie d'un mâle et de baiser. Jetant une volute de sa cigarette vers le ciel, elle jeta : « Ne trouvez-vous pas qu'ils font du bruit ? Pourquoi n'irions-nous pas au calme là-bas parmi les arbres ? » Il est vrai que ...
    ... nombre de gens dont des couples s'étaient enfuis. Je ne voyais rien à redire. Elle commandait. J'obéissais. J'escomptais qu’elle put calmer l'ardeur furieuse de mon sexe.
    
    Avec une certaine cruauté elle me fit observer que son mari avait depuis longtemps disparu avec mon amie. Sardonique elle développa : « Voulez-vous que je vous décrive le menu. A l'heure présente elle doit être agenouillée et le sucer. Il la prendrait plus tard par-derrière contre un arbre. » Loin d'être choqué par ce récit, je songeais plutôt qu'il en pourrait être pareil pour nous. Je méditais que cette salope devait adorer prodiguer une fellation à un homme. Juchée sur ses escarpins et marchant maladroitement dans l'herbe, elle roulait de façon comique du cul devant moi.
    
    Parvenus sous les arbres, nous trouvâmes encore trop de gens. Certains impunément s'embrassaient et s'enlaçaient déjà. Dans les bosquets un gros type prenait impunément une femme jeune manifestement avinée. Ma compagne observait cela avec fascination au point que je dus la tirer par le bras pour aller plus loin. Je l'avais prise par la taille et déjà lui caressais le cul. La nuit étoilée, la musique au loin et les rares ombres alentour tout concourrait à chérir ce séjour de l'Enfer. Sous un chêne il parut que nous étions seuls et tranquilles pour une halte. Elle se disposa à genoux.
    
    Je levais la tête zieutant la lune et les inoffensives étoiles. Puis je fermais les yeux tandis que dans sa bouche ma queue déjà chavirait. Elle faisait ...