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L À utre Eurydice
Datte: 09/10/2019, Catégories: Anal Humour Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... mon amie la laissant aux griffes de son mari prédateur. Je répondis sans ambages que nous étions sur le point de nous séparer. Que ce n'était plus qu'une question de semaines voire de jours. Je dis sans ironie qu'elle me cherchait un remplaçant et que ce ne pourrait être assurément un homme marié. J'ajoutais ce dernier point comme pour rassurer ma belle interlocutrice que son mari lui restât au final. Elle sembla n'avoir cure de ma délicate attention. Son homme était un invétéré dragueur. Finalement je choisis au su de tous de poursuivre la charmante conversation. Il m'importait peu qu'on médit sur nous. Des couples de toute façon du même ordre s'étaient formés. La chaleur de l'été et le fameux rosé étaient propices à ces sortes d'épanchements, de rapprochements et de désordre amoureux présidant à une soirée. Il y avait peu loin un grand parc où d'aucuns s'étaient perdus. Il était indubitable que flottait par-dessus cette atmosphère de fêtes galantes. Ma tristesse du coup s'évanouit. La chance tournait. Ce pouvait être mon jour et ma chance de bonheur. Je me perdais en contemplation sur les belles cuisses de ma nouvelle amie. Je trouvais délicieux que celles-ci croisées put nous offrir le spectacle point si impudent de ses bas dont la naissance marquait la blancheur de sa chair affleurant. Elle semblait se réjouir du regard des hommes dont moi sur ce simple détail. Elle manifestait ainsi la souveraineté de sa vraie sensualité. Elle était femme aimant le sexe et le ...
... faisant savoir. Un mari libertin lui concédant cela. J'eus idée que n'importe quel homme ce soir-là eût pu l'att****r et qu’elle ne résistât pas. Je prétendais à cette chance. Avec audace je lui jetais : « Votre mari a tort de vous négliger. Il mériterait d'être puni. » Elle sourit me rétorquant : « Pensez-moins à nos cocus infortunés. Suivez plutôt votre propre désir. » Je vis qu’elle voulait me faire la leçon. N'étais-je pas sur le point de commencer une nouvelle vie ? Elle voulait me désapprendre d'être niais. A ce moment éclatât une clameur suivie d'une musique assourdissante que je sus plus tard être de la Techno. Manifestement certains voulaient danser et s'amuser. Mon ex et le mari partirent se trémousser. Je me souvins de mon impéritie à danser. Je lui criais que j'étais un nigaud dans la danse. Elle sourit et posa son pied qu’elle avait extirpé de sa chausse sur la table. Ce geste intempestif, incongru voire même vulgaire me témoigna de ce que la musique sauvage lui faisait. Une sorte de libération, une autorisation à s'affranchir de maints tabous. De toute façon nous n'étions plus que deux à table. Nul ne nous observait et s'enquérait de nos caprices. Je contemplais médusé ce pied à la fois sensuel, vigoureux et espiègle. Il avait quelque chose de lascif. En lui profusait un flot profond de sensations et de promesses. Narquoise elle me demanda : »Il vous plaît ? » Elle voyait bien que je l'examinais en tous ces recoins. A travers le bas au teint sombre j'en ...