1. Mon Beau Père


    Datte: 07/10/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byjdrd, Source: Literotica

    ... bureau. Comme je me penchais pour l'attraper, je vis les yeux des deux hommes changer d'expression, sans comprendre pourquoi. Ce n'est qu'en regardant dans la même direction qu'eux que je compris: à cause de la chaleur, j'avais déboutonné le bouton du haut de ma robe, mais en même temps le deuxième s'était également déboutonné. Quand je me suis penché pour attraper le courrier, ma robe s'est totalement ouverte, dévoilant complètement ma poitrine, jusqu'à mes tétons. Je me relevais brusquement et malgré la chaleur refermais la fenêtre. J'entendis tout de même le facteur annoncer: avec une paire de nibard comme ça, il doit pas s'ennuyer ton fiston?. Le père répondit quelque chose que je n'entendis pas...
    
    Cette situation m'avait gênée, mais également excitée. Mon côté exhibitionniste reprenait le dessus.
    
    A midi, je décidais d'aller aider la mère à mettre la table, et après avoir vérifié ma tenue, je me rendais dans la salle à manger. La mère étant à la cuisine en train de faire le repas, je pris des assiettes dans le vaisselier et commençais à mettre la table. Cette dernière étant très large, je dus me pencher fortement en avant pour poser la dernière. C'est alors que je sentis une main puissante me maintenir collée à la table. Comme j'essayais de me relever en demandant ce qui se passait, j'entendis la voix du père ordonner:
    
    - Tais toi, tu me cherches depuis hier soir, tu m'as trouvé.
    
    Il me maintenait toujours collée contre la table d'une main alors que l'autre ...
    ... était remontée le long de mes cuisses, retroussant la robe. Je criais de toutes mes forces pour essayer de trouver de l'aide. Il coupa rapidement court à mes espoirs:
    
    - Tu peux brailler tant que tu veux, la ferme la plus proche est à 5 Km, et il ne faut pas compter sur la mère pour te venir en aide! Mais tes cris me gonflent.
    
    En disant ça, il tira très violemment sur ma culotte, qui se cassa net. Me tirant la tête en arrière par les cheveux, il me l'enfourna dans la bouche. Je ne pouvais plus crier et même la respiration était difficile. J'essayais de me débattre mais il devait y avoir 50 Kg de différence entre lui et moi et tous mes efforts étaient vains. De plus, ma respiration étant difficile, les efforts me faisaient suffoquer.
    
    Il arracha plus que déboutonna les trois boutons du haut de ma robe, et en me tenant toujours plaquée contre la porte commença à me pétrir les seins avec une force incroyable. On aurait dit qu'il trayait une vache. La douleur s'accentua encore quand il saisit mes mamelons et les tourna dans ses doigts râpeux, les pinça avec ses ongles. Mais mes cris restaient maintenant dans ma gorge, étouffés par ma propre culotte. De son autre main, il m'introduisit plusieurs doigts d'un seul coup dans le sexe, me faisant me cabrer de surprise. Ses doigts ne cherchaient pas à me donner du plaisir, mais à me faire mal. Puis j'entendis le bruit d'une braguette qui s'ouvrait. Je sentis son gland appuyer contre mes lèvres et il me pénétra d'un seul coup jusqu'à ...