1. Mon Beau Père


    Datte: 07/10/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byjdrd, Source: Literotica

    Cette histoire comporte des scènes de viol. Ce n'est que pur fantasme. Si vous n'êtes pas amateur, passez votre chemin.
    
    Je republie ici une vieille histoire que j'avais écrite il y a quelques années.
    
    Je m'appelle Julie, j'ai aujourd'hui 25 ans et j'en avais 20 quand les faits ci-dessous sont arrivés.
    
    Je suis brune, les yeux noirs, et je mesure 1m64 pour 52 kilos. Mais la partie la plus marquante de mon anatomie est ma poitrine. J'affiche en effet un impressionnant 95D, ce qui, étant donné ma petite taille donne à mes seins l'impression d'obus. J'ai également des mamelons hypersensibles qui sont constamment en érection.
    
    J'étais cette année là en licence de lettre, préparant en ce début du mois de Juin mes examens finaux. J'ai oublié de dire que je suis extrêmement studieuse et que je ne compte jamais mes heures de travail. La réussite est pour moi, étant boursière, impérative. L'été dans le sud avait été précoce et le thermomètre affichait des températures supérieures à 30 degrés.
    
    Depuis 6 mois, je sortais avec Sébastien, et j'en étais follement amoureuse. J'étais persuadé d'avoir trouvé en lui l'homme de ma vie.
    
    Quand il me proposa ce mercredi là de passer quelques jours chez ses parents, que je ne connaissais pas, pour être un peu plus au frais, je refusais tout d'abord. Je tenais à ne pas être distraite pour réviser mes examens. Il répliqua alors que je pourrais travailler là bas au calme, que ses parents s'occupaient d'une ferme perdue en pleine ...
    ... campagne et que c'était l'endroit idéal pour pouvoir travailler. Devant tant d'insistance, j'acceptais, consciente du plaisir que cela lui faisait de pouvoir me présenter à ses parents.
    
    Nous arrivâmes donc dans la ferme un soir de milieu de semaine.
    
    La table était mise et les parents de Sébastien nous attendais.
    
    Le père était le type du parfait paysan, grand, robuste, avec des mains gigantesques et abîmées. Il parlait peu mais était très bavard comparé à la mère, qui du prononcer 20 mots dans toutes la soirée. Petite, fine, elle paraissait comme une enfant à côté de lui, lui obéissait au doigt et à l'oeil et baissait souvent le regard. C'était lui le chef de famille, et ça se sentait! J'étais un peu étonné de trouver de tels parents à Sébastien, lui qui était intarissable de parole. Mais peut-être que c'est justement parce qu'il n'y avait pas beaucoup d'échanges à la maison qu'il parlait beaucoup à l'extérieur? Il semblait toutefois porter une véritable vénération à son père, et tout ce qu'il disait était pour lui parole d'évangile.
    
    Après le repas, Sébastien se coucha de suite, car il devait se lever tôt le lendemain pour effectuer une démarche administrative dans la ville d'à côté. J'en profitais pour travailler 2 petites heures. La chaleur était insupportable et nous avions laissé la porte de notre chambre entrouverte pour faire courant d'air avec la fenêtre. J'avais troqué mon pyjama habituel contre une chemise de nuit plus légère, qui remontait légèrement devant à ...
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