1. Ma sirène de femme et le jardinier


    Datte: 07/10/2019, Catégories: fh, cocus, inconnu, grossexe, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Ralph-Henri, Source: Revebebe

    ... détendu au fil de l’eau. Ses petits seins qui viennent comme respirer à la surface, les pointes en mines de crayons qui dessinent au fil de l’eau d’innocentes arabesques. Le sexe nu épilé, libre et, tour à tour, crevant la surface pour s’enfouir et ressurgir de la pellicule d’eau qui s’obstine à le cajoler sous nos yeux.
    
    Certes la scène n’a rien de bien érotique en réalité. Son naturel, dans cet environnement bucolique, incite davantage au rêve et à la poésie plutôt qu’à je ne sais quelle excitation. Mais les évènements produisent leurs effets de façon très variable sur nous autres, selon notre âge, notre humeur ou notre sexe. Apparemment notre ami voyeur juge la poésie des lieux et du spectacle avec des yeux beaucoup moins sereins. Le garçon ne se contrôle plus très bien et, de mon perchoir, je le vois agrippé aux branches basses du bouleau, la bouche entrouverte et les jambes légèrement fléchies. Il me semble même observer une légère ondulation des hanches. Comme les prémices d’une longue et lancinante agitation qui voudrait s’emparer du jeune homme pour un très long moment et qui va le conduire peut-être à des attitudes et des comportements qu’il ne maîtrisera pas.
    
    Mon intuition ne m’a pas trompé. Lucien, les yeux fixes, regard soudé à la piscine et à ma sirène de femme, tel un automate, dégrafe lentement les boutons de sa chemise. Plus exactement les arrache en force, un par un comme avec une lente violence quasi programmée. Celui du col pour commencer. Les ...
    ... suivants sautent facilement. Aucun ne résiste aux doigts puissants rompus aux tâches les plus rudes. L’animal est doué d’autant de force qu’il a peu de neurones. Il jette sa chemise de toile épaisse, laissant à nu un torse sec et musclé, se débarrasse avec la même tranquille obstination du reste de ses vêtements.
    
    Comme en état d’hypnose, sous contrôle d’un mystérieux gourou, quelque esprit dissimulé dans les frondaisons alentour, et, désormais totalement nu, Lucien reprend sa position de singe, agrippé aux branches basses du bouleau, les jambes légèrement fléchies. Son sexe raide, vertical et parallèle au ventre, vient tutoyer son nombril. Les ondulations du bassin reprennent. Esquissées puis plus marquées, elles donnent le branle à ce sexe aux proportions maintenant phénoménales. Colonne de chair triomphante, véritable pied de nez de la nature facétieuse et frivole. Bien de ceux qui humilient cet homme de peu quand ils l’ont sous leur dépendance rêveraient d’en avoir une accrochée à leur bas-ventre, fut-ce du quart de celle-ci.
    
    Ce garçon est-il seulement conscient du cadeau que lui ont fait les fées à sa naissance en le dotant d’un pareil outil ? Mais le primate ne se soucie pas de son état intéressant. Tout au spectacle qui lui vaut cette érection de concours, il ne se soucie pas non plus du voyeur aux jumelles que je suis et qui braque maintenant la binoculaire sur cette verge phénoménale qui gonfle encore et encore, gourdin gorgé de sang, lourd et sauvage.
    
    Et puis, ...
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