1. Une plantureuse et experte gymnaste 2


    Datte: 06/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Bgp, Source: Hds

    ... miroir haut dessus du lavabo reflétait le dos finement musclé de la belle et sa chute de rein parfaite, ainsi que les côtés des lourds joyaux qui montaient et descendaient au rythme de sa respiration. Je restais bouche bée face à cette poitrine aussi parfaite que le sourire de Maryline. J’avais essayé d’en créer une image mentale tout au long de la soirée mais j’étais bien loin d’imaginer une telle perfection.
    
    Maryline s’approcha de moi et se pencha pour me donner un baiser. Ses seins vinrent d’abord froler, puis appuyer plus lourdement sur mon torse imberbe, et finirent pas emprisonner mon sexe qui était tendu à m’en faire mal. Le contact de ses lèvres sur les miennes, de ses tétons durs sur mon torse, et de ses seins fermes autour de mon sexe m’électrisa et je frissonnai de plaisir. Maryline décolla ses lèvres des miennes tout en maintenant sa poitrine contre mon corps. Ses main passèrent derrière mon dos et s’insinuèrent avec force sous chacune de mes fesses. Je me retrouvais assis sur les mains de l’amazone qui me fixait de son doux regard.
    
    — Tu ne pensais pas que j’allais te laisser marcher jusqu’à la chambre avec le beau pansement que je t’ai fait. Et depuis le temps que je rêvais de palper ton petit cul !
    
    Dans un mouvement lent, elle redressa son buste tout en me soulevant avec ses mains sous mes petites fesses. Tout mon poids reposait dans ses paumes, et ses biceps fins mais puissants se gonflèrent sous un effort qui ne semblait pas lui coûter beaucoup ...
    ... d’énergie. Mes jambes pendaient de part et d’autre de sa taille. Mon torse s’écrasait sur ses énormes seins entre lesquels mon sexe était toujours emprisonné. Mes mains vinrent naturellement se placer sur ses épaules dont les muscles s’étaient striés en me soulevant. Je n’arrivais plus à parler et me demandait quand ce rêve allait se terminer.
    
    — J’adore te porter. Ton corps est si léger et ta peau si douce, et ton sexe est si dur entre mes seins. J’adore cette sensation !
    
    La géante se mit à faire monter et descendre mon corps par la seule force de ses bras, pour faire coulisser mon pénis entre ses fermes mamelles. Je me voyais monter et descendre dans le miroir. J’étais tellement excité depuis le début de cette soirée que la belle n’eut pas à m’agiter longtemps pour me faire venir. Je jouissais entre les seins de l’amazone qui admirait mon visage sculpté par le plaisir intense que je ressentais. Je mis mes bras autour du cou de Maryline et l’ embrassai fougueusement. Toujours en me soutenant pas la seule force de ses bras, elle me porta jusque dans la chambre. Une de ses mains vint derrière mon dos et pendant un court instant, tout mon poids reposa dans son autre main. Elle se pencha et me déposa précautionneusement sur le lit. Quand elle se releva, elle libéra mon sexe flaccide de sa sensuelle prison, et quelques filets de sperme se formèrent avant de se rompre.
    
    — Tu t’es bien soulagé ! Laisse moi prendre une douche, et on reprendra où on s’en est arrêté.
    
    Tout en ...