1. Une plantureuse et experte gymnaste 2


    Datte: 06/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Bgp, Source: Hds

    ... poitrine de mon buste, elle mis à jour mon érection triomphante et n’en fut qu’à moitié surprise. Me toisant de sa hauteur, elle se moqua un peu de moi.
    
    — C’est bien ce que j’avais senti. Je vois que monsieur n’est pas si mal que ça !
    
    — Pardon ! Tu es si belle et tu as un corps si parfait !
    
    — C’est sûr qu’avec mes gros seins sur ton torse, et ton petit corps porté dans mes bras, ça ne pouvait avoir que cet effet.
    
    Je fus surpris qu’elle considère le fait de me porter comme quelque chose qui pouvait m’exciter, mais à bien y réfléchir, je m’étais plutôt senti bien d’être manipulé si facilement.
    
    — Ce n’est pas la première fois que je porte un homme. Un de nos gymnastes s’était foulé la cheville lors de sa réception au sol et j’avais dû le porter comme je l’ai fait pour toi jusqu’à l’infirmerie. Quand je l’ai posé sur le lit, son pénis tendait la toile de son juste au corps, malgré la douleur qu’il ressentait. Je n’ai jamais vu quelqu’un aussi gêné. Même s’il était beaucoup plus lourd que toi, je n’avais pas trouvé ça tellement dur. C’est pour ça que vu ta silhouette de crevette, je savais que j’allais te soulever et te porter avec facilité, et puis j’adore sentir un petit corps d’homme dans mes bras, surtout quand ils sont trop mignons comme toi. On va s’occuper de ton pied.
    
    Je m’assis au bord de la table en laissant pendre mes pieds. Le sang ne coulait plus. La belle nettoya la plaie et emmaillota mon pied dans de la gaze.
    
    — Voilà une première chose de ...
    ... faite, passons au deuxième symptôme.
    
    Je la regardais en plissant les yeux, me demandant bien à quoi elle faisait référence.
    
    D’un geste rapide et puissant, elle saisit l’encolure de mon maillot de bain et le fit glisser jusqu’à mes pieds, puis le laissa tomber. Je me retrouvais totalement nu face à la belle qui arborait un sourire narquois, exposant mon sexe en érection à son jugement.
    
    — Tu sais que tu es pas mal. Pas très grand, mince, mais très bien proportionné, et puis les grands costauds, ce n’est pas mon truc, je préfère les crevettes comme toi !
    
    Je souris en écoutant ce qui se voulait être un compliment, même si ma virilité en prenait un petit coup. La belle se recula légèrement et passa sa main droite sous la bretelle gauche du haut de son bikini et la fit tomber sensuellement sur son bras. Elle répliqua son geste de l’autre côté et les bonnets de son haut basculèrent en avant, révélant le haut de ses sombres aréoles. Ses tétons étaient déjà dressés d’excitation et poussaient sur le tissus comme des prisonniers qui demandaient à ce qu’on les libère. Maryline passa alors ses main dans son dos et dénoua le dernier lien. Sa lourde poitrine comprimée éjecta le soutien-gorge et se révéla dans toute sa splendeur. Malgré leurs poids, ses seins ne s’étaient pas affaissés. Ils étaient si larges et fermes que même s’ils se touchaient au centre, formant un profond sillon, ils dépassaient quand même largement à droite et à gauche de la cage thoracique de l’amazone. Le ...