Question de diplôme 2
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Auteur: charime, Source: xHamster
... ce vin, il y eut comme un souci. Martine et moi étions bien incapables de travailler et encore moins à mémoriser. Sur mon canapé, nous avons baisé comme des porcs. Martine se dévoilant entièrement et sans ne plus rien me cacher de ses talents en matière de sexe. Je ne pensais pas ma sœur aussi dégourdie. Ce qu’elle me fait, aucune de mes ex ne l’avait osé, comme de lécher mon cul et même y plonger la langue. J’avoue que j’adore voir ma sœur pratiquer tout ça. Désormais, je ne pourrai plus regarder cette femme comme ma sœur, mais comme ma compagne, ma docile petite compagne. Je la crois encore capable de bien plus. Il ne tient qu’à moi qu’elle me les fasse découvrir.
Histoire de ne pas perdre trop de temps, après cette bonne séance de baise, j’envoie Martine remplir mon questionnaire. Je lui rappelle qu’elle a droit à trois fautes, pas une de plus. Pendant que je range la salle à manger, fait la vaisselle, elle bosse comme une acharnée. Le chrono tourne, une heure c’est court quand on est stressée comme Martine. Pratiquement toutes les minutes, je lui donne le temps restant. Oui, je cherche à lui faire commettre des erreurs, oui, je cherche à la punir, d’où le gravier.
Ma cuisine rangée, je vais voir, toujours en donnant le temps restant. Top, c’est terminé. Je récupère ses réponses et mon questionnaire. Ouille, pas fameux. J’en suis déjà à trois fautes et je n’ai pas encore dépassé la quinzième question. Et pan, à la vingtième, c’est fait, il va y avoir une bonne ...
... punition. Encore trois de plus et il manque la dernière réponse.
- Tu as fait très fort. Vas sur le balcon à quatre pattes.
Le temps de prendre le seau de gravier. Près de Martine, j’en répands une largeur de dix bons centimètres sur une le double en longueur. À genou, je la vois grimacer avec un plaisir certain. Elle me regarde avec un sourire un peu forcé. Pendant qu’elle souffre, je dispose plein de punaise sur la table basse avec ma cravache et mon martinet. Vous remarquez que je n’ai pas encore fait usage de la baguette de bambou. Cela dit, cela pourrait changer après la prochaine interro.
Maintenant, toujours sur du gravier, devant ma table basse, Martine voit ce qui l’attend, les punaises.
- Penche-toi dessus, j’exige que tu poses bien ta poitrine dessus. Si tu ne le faisais pas, je viendrais appuyer en m’asseyant sur tes épaules. Vas-y vilaine fille.
Je crois que les mots « vilaine fille » ont déclenché quelque chose de nouveau en elle. Quand elle se penche en avant, c’est tout lentement, comme pour mieux profiter de ce moment plutôt piquant. De mes mains, je la relève plusieurs fois pur mieux la pencher et appuyer sur son dos. De ma cravache, je lui interdis de se relever. Sur ses fesses, la cravache rougir sa peau. Ainsi, demain, elle ne pourra s’assoir. Je frappe fort à très fort, je veux savoir jusqu’à quel point elle peut encaisser la douleur. Quand elle cherche à échapper, je sais que je ne dois pas frapper plus fort que ce dernier coup. Je la redresse ...