Question de diplôme 2
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Auteur: charime, Source: xHamster
... recouvrait sa bouche. Sa langue s’enfile jusqu’entre mes fesses. Je crois que cette fois, elle a compris que je veux éjaculer sur son crâne.
- Vas me faire la vaisselle. Désormais, tu seras chez moi à six heures. Tu me prépareras mon déjeuner et tu me réveilleras par une fellation. Ensuite, de sept à huit, ménage, de huit à midi, étude, de treize à dix-sept heures, étude et examen. Si je ne suis pas satisfait, je te punis toujours plus sévèrement. Tant que tu n’auras pas compris où se trouve ton intérêt, tu seras sévèrement punie. Voilà, vas-y et en silence.
Elle prit toute la vaisselle et me la fit nettement mieux que moi et dieu sait si j’ai de l’expérience. La voilà près de moi à étudier, parfaitement concentrée. Sur mon ordi, je termine mon travail avec ces derniers documents parfaitement remplit et sans aucune erreur.
Un peu avant dix-sept heures, je l’interroge à nouveau. Et là, oh surprise, pas une erreur, que des bonnes réponses.
- Bravo, pour te récompenser, je te garde pour la nuit.
- Merci Monsieur.
- Vas te doucher, après quoi, tu me range tout ça dans le bureau et en ordre.
- Avec plaisir monsieur.
Ma sœur devient une parfaite petite soumise. Pire que tout, elle prend beaucoup de plaisir à m’obéir, même si elle n’a pas encore l’occasion de prendre son pied, à moins que... Mais ça, ça ne serait tarder.
Mon salon bien ranger, idem pour le bureau, je lui demande de nous faire à souper. Pendant le repas, nous bavardons de son avenir. ...
... Quand elle me demande s’il ne serait pas possible de travailler avec moi, je ne sais pas pourquoi, mais je ne suis pas surpris.
Puis, dans ma chambre, je la dépose sur mon lit. Aussi longtemps que je peux, je lui fais l’amour. Le simple fait de l’entendre jouir de son frère, me réjouit le cœur. Quand elle m’avoue en pincer pour moi depuis cette célèbre fessée chez nos parents, j’avoue que cela me redonne de la force pour l’aimer encore, une dernière fois, juste pour l’entendre encore jouir et lui cracher le peu qu’il me reste dans ses entrailles. Elle devient tellement belle quand elle jouit que je crois que je ne vais plus pouvoir me passer de cette jeune femme de 23 ans, ma petite sœur, Martine.
Blottie contre moi, avant que nous nous endormions, elle me raconte comment elle en est venue à vouloir que je la fasse réviser. La connaissant, je sais qu’elle ne me ment pas. Surtout quand elle me détaille cette toute première fessée comme si cela avait été la révélation du siècle. Surtout quand elle m’avoue avoir souvent regretté que je ne lui en administre pas une plus souvent. C’est vrai qu’à cette époque, je ne lui en avais donné qu’une seule jusqu’à avant-hier.
Au matin, mon déjeuner est prêt. Sur mon pénis, une bouche avenante va et vient, des mains caresses mon corps, mes couilles. Quand je jouis, elle me lèche encore partout, ne laissant aucune trace de mon éjaculation sur mon ventre. Puis, elle me sert mon repas du matin. Nue, elle s’attaque au ménage pendant que je ...