Question de diplôme 2
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Auteur: charime, Source: xHamster
... réponse. Plus je corrige, plus je découvre des erreurs, en tout, onze fautes. Beaucoup sont impardonnables. Je gifle ses seins garnit de leurs pinces. Là, Martine grimace et déjà les larmes pointent.
- Tu connais le tarif, vas me chercher le seau et l’adhésif. Demain, avant de venir, tu iras me chercher un seau complet de gros gravier, je sais qu’il y en a sur le chantier au bas de chez toi.
- Bien Monsieur.
Je bâillonne sa bouche de mon adhésif, j’attache ses mains dans son dos avec ce même adhésif. Puis, pince après pince, je garnis ce corps tout entier, même son dos et ses bras.
Dorénavant, elle va travailler debout, près de moi. En arrachant sèchement l’adhésif de sa bouche, j’exige qu’elle lise à haute voix tout ce qu’elle doit impérativement savoir pour ses examens. D’un bout de corde, j’attache ses pieds, leur laissant assez d’espace pour qu’elle puisse marcher en faisant de tout petit pas. Jamais elle ne proteste devant mes procédés. Ce serait même le contraire, car ses mercis sont un excellent signe que je dois continuer à la forcer à apprendre.
Dix heures, c’est l’heure de sa pause. Je l’autorise à retirer les pinces. Seulement, je ne le lui permets de le faire qu’en tirant dessus chacune des pinces sans les ouvrir. Je ne la quitte pas du regard. Je prends même un malin plaisir à la ralentir dans ses mouvements. Son corps ondule, c’est de toute beauté. Devant moi, Martine se met à danser lascivement. Cela rend ma sœur si sensuelle qu’elle ...
... mériterait que je lui fasse l’amour. Mais seulement voilà, elle est punie. Parfois, je m'en veux de la punir au lieu de la baiser.
- Tu vois, si tu me faisais cette danse sans avoir fait de fautes, je te coucherai et te ferais l’amour, même si tu es ma sœur. C serait une jolie récompense, tu ne trouves pas ? Enfin, je doute maintenant que tu puisses être autre chose que ma petite salope bien docile que ma sœur.
Martine comprend alors que si elle me veut en elle, elle va devoir cravacher ferme pour ne plus commettre la moindre erreur.
Après sa pause, debout près de moi, elle met toute sa ferveur dans son apprentissage. Avant midi, nouvel interrogatoire. Je sais déjà qu’elle a tout donné pour tout mémoriser. Je connais la valeur de ses efforts. Seulement, dès la première question, c’est la catastrophe. Je suis obligé de sévir une fois de plus. La boite de punaise est répartie sur ma chaise de bureau et celle sur laquelle elle va prendre place pour manger. À l’heure du repas, je veille à ce que tout son poids soit sur ces punaises. Pour lui compliquer la tâche, je lui attache ses mains dans le dos. La soupe, sans une cuillère, c’est juste un peu plus difficile à boire. Ma soupe avalée, je vais prendre le martinet. Sur son dos, les lanières ont tôt fait de rougir sa peau.
- Il n’appartient qu’à toi de ne plus souffrir pour des bêtises qu’un étudiant de première année connait par cœur.
Enfin, je l’autorise à me sucer encore une fois. D’un coup sec, j’arrache l’adhésif qui ...