Hélène (34)
Datte: 05/10/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: rouge22, Source: Xstory
... chaque cinglée, je me cabre, et je secoue les poids qui étirent mes pauvres tétons
Hélène.
Dix-neuf, vingt, vingt et un. J’ai enchaîné les trois dernières fouettées à la volée comme le final d’un feu d’artifice. La pauvrette fait valser ses pinces de tous côtés. Elle ne crie plus, mais elle gémit à chaque coup. Elle relève sa tête, son rimmel a coulé, son rouge aussi, ses yeux sont cernés et marqués. Je me pose à genoux à côté d’elle, j’essuie son visage, je la regarde avec tendresse.
— C’est fini ? m’interroge-t-elle.
— Oui, je vais te détacher.
— Non, s’il te plaît. Laisse-moi dessus. Et elle ajoute.
— Regarde dans mon sac.
Je plonge dans son réticule, j’en sors un leurre en verre multicolore, et un harnais à trois brins.
Cette coquine garde un gode ceinture à portée de main. C’est un bel objet, pas très gros, deux doigts de large, peut-être quinze centimètres de long. En tout cas, mon chéri est bien mieux pourvu.
L’objet est moulé à l’imitation d’un vrai sexe bandé avec ses veines saillantes, le bourrelet de la peau retroussée, et un gland ovale dont le bord fait saillie par rapport à la tige, la matière transparente est parcourue d’un veinage coloré de rouge, de vert et de jaune.
C’est un bel objet, très féminin. Je l’imagine rangé dans le tiroir de la table de nuit, ou mieux dessus comme un bibelot décoratif.
Je laisse tomber ma jupe et je me harnache. Je me sens un peu ridicule, avec mes formes marquées de mâture, et ce truc qui pend ...
... sous mon ventre.
Je me place en face du compas de mon amante et je m’enfonce dans sa chatte.
— Pas par-là, je te veux en sodomie.
— Eh bien, ma belle, tu as bien évolué.
— C’est de ta faute si je commence à apprécier l’amour anal.
Je prends mon pénis factice en main et je le place en face de l’anus crispé de la belle. Pas besoin de lubrification, la mouille abondante recueillie lors de l’enconnage suffit. Je regarde mon amante dans le miroir, je pousse. Je peux suivre la progression de son enculage sur son visage. Son œillet résiste, elle serre les mâchoires. D’un coup, il cède, et le gland passe le muscle intime, sa bouche s’ouvre comme un O muet. La tige est rentrée, elle laisse échapper un ah de surprise.
Mel
Le contraste entre la féminité d’Hélène en porte-jarretelles et bas, et la virilité artificielle qui orne son ventre est incroyable.
Elle pousse, mon muscle résiste puis lâche. Le gland se fraye son passage en douceur, puis mon sphincter se resserre sur la tige, qui coulisse dans mon rectum. Je ne ressens aucune douleur, au contraire, je suis heureuse de me donner à ma maîtresse adorée de cette façon.
Pendant les premiers aller et retour, je n’éprouve qu’une sensation mécanique.
Puis doucement, une bulle de chaleur se forme. Hélène me pistonne avec délicatesse. Elle laisse le plaisir s’installer. Je décolle. Je lui ordonne...
— Plus fort.
Je regarde le reflet de notre couple dans le miroir. Hélène croche ses doigts dans la chair ...