1. Hélène (34)


    Datte: 05/10/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: rouge22, Source: Xstory

    ... pendent comme des petites verges.
    
    Je veux lui faire mal, je prends un mamelon, j’ouvre largement une pince autour.
    
    Et je laisse les deux mâchoires se refermer sèchement sur le pauvre petit téton érigé. Elle hurle, en spammant violemment de la tête aux pieds.
    
    Elle pleure. Un instant, je me laisse attendrir, mais mon rôle de domina reprend le dessus et je m’occupe de l’autre sein. Elle spasme à nouveau.
    
    — Tu as mal.
    
    — C’est atroce.
    
    — On arrête !
    
    — Non, va jusqu’au bout, conclut-elle.
    
    Récit de Mel
    
    Je me regarde dans le miroir. Mes seins étirés et pincés me lancent. J’ai pleuré, et des cernes marquent mes orbites. Ma chevelure dégouline en vrac autour de mon visage. Où est passée la bourge, venue déjeuner chez une amie un dimanche ? Et en un instant, je me revois, quelques mois avant, quand je ne connaissais pas encore Hélène, et que je n’étais qu’une épouse potiche, négligée, et maintenant trompée par mon mari. Non finalement, je ne regrette pas d’avoir fait ce chemin qui m’a menée sur le chevalet.
    
    Ma domina adorée me présente deux poids, munis d’un crochet. Je n’ai aucun doute sur ce qui m’attend.
    
    — Tu veux ?
    
    — Oui ! lui réponds-je dans un souffle.
    
    Elle accroche les deux morceaux de plomb. Je serre les dents. La cruelle les fait danser d’une chiquenaude. Une douleur sourde irradie de mes framboises.
    
    Elle passe derrière moi.
    
    Je la vois dans la glace, elle tient son martinet et caresse mes fesses de ses lanières. Je croise son ...
    ... regard. Je lui envoie un baiser muet du bout des lèvres. Je sens ma cyprine suinter entre mes nymphes, je mouille d’impatience. Je suis prête. Je bats des cils.
    
    Elle lance ses lanières, arrosant ma fesse gauche.
    
    Hélène.
    
    Je fais glisser le martinet sur son cul, puis sur sa chatte ouverte et déjà humide. Elle frétille, comme pour appeler la fouettée.
    
    Je la cingle deux fois de suite, elle se cambre sur le chevalet et fait balancer les pesons de ses mamelles. Je stoppe, je la laisse déguster sa souffrance.
    
    Le balancement de ses chaînes cesse, elle geint.
    
    Je suis fascinée par ses seins. Je les trouve très beaux, bien que sa poitrine tombe un peu. J’adore quand elle les laisse libres sous son chemisier, et que je peux les voir se balancer doucement sous la soie. Et en plus, cette coquine bande très facilement des tétons, le simple frottement du tissu suffit à les faire gonfler.
    
    Je mouille à l’idée de les faire souffrir. C’est juré, la prochaine fois que je peux jouer avec elle, je fouetterais ses nibards insolents.
    
    Mais en attendant, je vais m’occuper de ce cul si tentant. J’enchaîne encore quatre cinglées. Elle agite son postérieur et relance la danse de sa poitrine suppliciée.
    
    Une petite pause et je reprends ma flagellation, avec quelques arrêts pour qu’elle reprenne son souffle, mais aussi qu’elle puisse jouir des souffrances de sa poitrine et de ses fesses
    
    Mel.
    
    Je n’en peux plus, mon cul me cuit, mais c’est surtout mes seins qui me font souffrir. A ...
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