II - Plaisirs coupables (8) - Histoires de Sexe

II - Plaisirs coupables (8)

... de la crème sur le cul, c’était quoi ?

Florian était certain que Jenny observait chacun de ses mouvements lorsqu’il s’occupait de Typhaine.

— C’était surtout pour essayer de me mettre mal à l’aise.

— Tu m’avais l’air d’être parfaitement à l’aise vu le temps que tu as passé à lui masser le derche !

— Mais, je… euh… elle ne m’a pas trop laissé le choix, bafouille Florian.

Jenny se met à rire.

— Tu sais quoi ? Ferme-là bien comme il faut ! J’espère que t’as bien profité de ma chatte parce que t’es pas prêt de la revoir, tout comme ce qu’il y a autour, d’ailleurs !

Florian rigole à son tour, il ne prend pas sa menace au sérieux.

— Si tu étais aussi fâchée que ça, tu ne m’aurais pas laissé en profiter dans la piscine.

— C’était le seul moyen de faire rager l’autre pétasse, c’est tout, ne te fais pas d’idées.

— Mais oui d’accord, allez bébé, détends-toi, dit-il en posant sa main sur la cuisse de sa petite amie.

— Me touche pas ! lâche-t-elle en lui repoussant brusquement la main.

— Ah mais t’es sérieuse en fait !

— Exactement !

— Mais qu’est-ce que j’ai fait ?

— T’es vraiment un gros débile si tu ne sais pas ce que tu as fait ! s’emporte-t-elle. Que tu la mates allègrement passe encore, mais que tu ailles lui passer de la crème sur le corps, ça, je ne l’accepte pas !

— Mais… t’as rien dit, je pensais que ça ne te dérangeait pas !

— J’ai rien dit parce que je voulais voir la décision que tu allais prendre, et j’ai vu !

— ...

... T’abuses là, je lui ai juste passé de la crème, je l’ai pas baisé non plus, arrête !

— Et quand elle s’est bien rentré le maillot dans la raie des fesses pour que tu puisses lui toucher le cul plus facilement, ça t’a pas fait tilter ? Tu t’es pas dit que c’était un peu abusé ?

— Ben je…

— Ben jeeeee ! lance-t-elle en grimaçant. Et puis t’as eu l’air de l’aimer son cul, t’as pris bien plus de temps à passer de la crème sur le sien que sur le mien !

— Je rêve ou t’es en train de me faire une crise de jalousie ?

— T’es vraiment qu’un sombre connard, Florian ! Tu sais pertinemment que je ne peux pas la blairer et tu ne trouves rien de mieux à faire que d’aller la tripoter sous mon nez !

— Donc j’aurais dû refuser, c’est ça que tu es en train de me dire ?

— OUI ! crie Jenny.

— Chuuut, moins fort ! tente-t-il de tempérer.

— Je m’en tape qu’on m’entende !

— Mais arrête Jenny, j’ai rien fait de plus que lui mettre de la crème solaire, c’est tout, je vois pas ce que tu vas t’imaginer !

— Vu comme tu bandais pendant que tu la caressais, dans ta tête, ça devait pas être que de la crème que tu étais en train de lui mettre ! Oh, et t’as apprécié aussi le nichon qu’elle t’a sorti devant le pif ?

— Mais, je…

— Me dis pas que tu l’as pas vu sinon je te mets une tartine entre les deux yeux que tu vas te demander qui a éteint la lumière ! Et je suis certaine que si j’avais pas mis le holà, tu ne te serais pas gêné pour aller lui masser les nibards !

— Bon ...