Surpris sous la pluie
Datte: 03/10/2019,
Catégories:
fhh,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
préservati,
Auteur: Bichon, Source: Revebebe
... sèche-linge, joli calcul de sa part, alors pourquoi ne pas franchir le pas entre l’exhibitionnisme et celui du triolisme puisque visiblement Géraldine n’avait plus de secret pour nous. Il l’avait vu quasi nu, ne s’était pas gêné pour la complimenter ouvertement et n’attendait vraisemblablement plus qu’une chose, la baiser. D’un coup, sa main se figea dans mon dos, puis elle tenta de me repousser en gesticulant et en gloussant :
— Arrête, il y a du monde ! Il est insupportable, excusez-le !
Elle regardait fixement vers la porte et en même temps, je ne la sentais pas convaincante dans ses propos car elle ne se débattait pas vraiment.
— À sa place, je ferais pareil, la rassura Philippe, tu es si belle, il ne faut surtout pas vous gêner pour moi
Relevant lentement la tête, j’ai obligé ma compagne à garder son bras derrière moi, dévoilant totalement son sein, à mon compagnon, du fait de son peignoir à demi ouvert, permettant à Philippe de se rincer l’œil une nouvelle fois. Celui-ci posa le plateau sur la table basse et s’assit face à nous sur un fauteuil, sans chercher à masquer l’érection qui pointait sous son peignoir. Reprenant ma position, nous trinquâmes à notre rencontre et surprise pour nous deux, Géraldine ne remit pas son peignoir en place, laissant son sein partiellement dénudé. Elle était assise un pied sous ses fesses, la jambe repliée, une moitié de corps dénudé, la culotte apparente, captivant sans s’en offusquer nos regards. Lorsqu’elle se pencha ...
... pour attraper son verre, elle nous offrit une belle vue sur son décolleté. Nous parlâmes de la région, des plages, des plages naturistes puis de fil en aiguille, le sujet vint à la beauté féminine et au sexe. Philippe fixa Géraldine dans les yeux puis lui annonça qu’elle lui faisait beaucoup d’effet. J’avais posé, depuis un bon moment, ma main inerte sur sa cuisse dénudée, cette révélation fut un déclic. Devant la mine dubitative de ma compagne, notre hôte saisit l’occasion pour ouvrir son peignoir et ajouter :
— Tu ne me crois pas,
En exposant sa verge érigée sous nos yeux, il ne doutait de rien et finalement, avait bien raison.
Géraldine me regarda stupéfaite, puis devant mon sourire en coin, prit ma tête à deux mains et m’embrassa profondément devant un homme qui n’attendait qu’un geste de notre part pour nous rejoindre. Il se leva, vint sans précipitation s’asseoir à ses côtés, puis du bout des doigts, caressa délicatement son genou gauche. Doucement, pour ne pas la brusquer, il remonta sa main sur sa cuisse, entraîna le pan du peignoir vers l’extérieur, dévoilant l’autre face cachée de l’anatomie de cette femme amoureuse qui continuait de m’embrasser, en fermant les yeux, pour ne pas s’avouer vaincue. Je n’étais pas jaloux et j’en fus le premier étonné ! Philippe, après avoir ouvert la sortie de bain, remonta sa main lentement sur le ventre de la belle en évitant, soigneusement et temporairement à n’en point douter, l’entrejambe encore protégé par la culotte de ...