1. Surpris sous la pluie


    Datte: 03/10/2019, Catégories: fhh, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral préservati, Auteur: Bichon, Source: Revebebe

    Cette journée de printemps avait bien débuté, la météo annonçait un soleil sur toute la Bretagne avec une possibilité de petits nuages, sans pluie, épars, par-ci, par-là. Nous avions décidé, au vu du ciel bleu, de parcourir un grand tour et de revenir par la côte, le long de la plage, pour profiter de notre première journée printanière de RTT, en semaine, pendant que d’autres trimaient à notre place. Ma compagne est âgée de 30 ans. Elle adore le blanc, que ce soit pour ses vêtements, pour la décoration de ses murs intérieurs ou tout simplement pour sa voiture. Cette couleur met ses yeux bleus en valeur et permet quelquefois, par transparence, d’attirer le regard des hommes en dévoilant innocemment le contour de son corps. Sa peau hâlée contraste à merveille avec sa couleur favorite et sa longue chevelure brune ondule librement sur ses épaules. Pour ma part, bien que je me trouve quelconque, beaucoup de femmes se retournent sur moi, je cherche assez souvent à croiser leur regard pour échanger un sourire de complicité. Je dois reconnaître que j’aime charmer et que je suis voyeur. Après avoir laissé la voiture en ville, nous voici partis pour une randonnée approximative de quinze kilomètres, en incluant une pause pour le repas à mi-parcours. Géraldine s’était vêtue d’un pantalon fluide en toile, d’un caraco laissant ses épaules dénudées, autant profiter du soleil, et j’avais emporté des victuailles dans un petit sac à dos que je portais sur un tee-shirt. La première moitié ...
    ... du trajet parcouru, nous fîmes une pause casse-croûte vers midi sur un banc en admirant l’océan.
    
    Après avoir dévoré nos sandwichs et refermé mon sac, elle posa ses longues jambes sur mes cuisses, en me regardant avec ses yeux de chatte, puis elle creusa le dos et referma ses jolis yeux bleus pour savourer ce moment de détente. Ne pouvant résister à la douceur de sa peau, j’ai glissé ma main sous le tissu flottant de la jambe de son pantalon et je me suis amusé à caresser sa peau en remontant de plus en plus haut vers son entrejambe. J’aime ce pantalon, la texture du tissu est aussi fine qu’un chemisier et elle pourrait mettre ses deux pieds dans la même jambe s’il ne subsistait pas le problème de la marche évidemment, c’est dire si ma main peut se promener aisément sur sa peau. Le soleil tapait et nous étions seuls au monde, j’en ai donc profité pour remonter son pantalon en short et du bout des doigts, frôler son entrejambe en observant sa réaction. Géraldine me regarda en plissant les lèvres. Elle me demanda de me calmer, ne voulant pas risquer de tacher son vêtement alors qu’il nous restait une bonne heure de marche avant de regagner notre voiture et que nous pouvions croiser d’autres promeneurs le long du chemin côtier, ou en traversant les plages. Nous continuâmes notre pause en occupant assis la totalité du banc, profitâmes du soleil pour écouter le ressac des vagues sur les rochers, cachés sous nos casquettes.
    
    Vers 14 heures, le ciel s’assombrit légèrement nous ...
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