1. Surpris sous la pluie


    Datte: 03/10/2019, Catégories: fhh, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral préservati, Auteur: Bichon, Source: Revebebe

    ... femme délicieuse, sa tenue lui va à merveille et si le courage vous dit, je vous propose de profiter de la légère accalmie pour venir vous sécher chez moi, car cela ne va pas se calmer d’aussitôt, quand il pleut ici, cela peut durer longtemps. Je vous raccompagnerai une fois secs, avec ma voiture
    
    En fait d’accalmie, la pluie avait juste réduit son débit et continuait à tomber sans discontinuer, le ciel restait pourtant menaçant. Questionnant Géraldine de la tête, je fis un signe d’accord à notre compagnon d’infortune et nous nous mîmes à courir vers sa demeure, après avoir remis nos chaussures. Il trottait à nos côtés, se rinçant l’œil en regardant fréquemment Géraldine et ses vêtements devenus transparents ou craignait-il que nous ne prenions une route divergente et nous surveillait-il ? Arrivés sous son perron, Géraldine serra fortement ma main, réalisait-elle qu’elle était nue devant un inconnu malgré le tissu inutile qui masquait les détails de son corps ? Il nous invita à entrer puis, après avoir retiré nos chaussures, il nous dirigea vers la salle de bain pour prendre de grandes serviettes sèches qu’il nous tendit. Il ôta son tee-shirt, son short et s’enveloppa dans son peignoir de bain. Géraldine s’enroula les cheveux, en baissant la tête. Son mouvement plaqua une nouvelle fois son pantalon sur ses fesses et nous permit d’en découvrir son sillon. Le corps de ma compagne n’avait à présent plus de secret pour notre « sauveur ». Il nous demanda en rigolant si nous ...
    ... voulions prendre une douche chaude. Devant l’embarras de Géraldine, trempée des pieds à la tête, il proposa de mettre nos affaires dans son sèche-linge et sortit un sèche-cheveux du placard. Il tendit le bras pour recueillir nos frusques. Nus pour nus, Géraldine retira son pantalon et son caraco en me regardant ôter mon short et mon tee-shirt tandis que Philippe, c’était son prénom, nous proposa de nous ramener des affaires sèches. Il refit son apparition quelques minutes plus tard, entrant dans la salle de bain sans attendre après avoir tapé à la porte, muni d’un peignoir propre et un short à la main pour moi. Géraldine venait de pénétrer sous la douche pour se réchauffer et Philippe ne manqua pas, avec ma complicité latente, de mater sa belle plastique à travers la vitre de la douche. Elle s’en rendit compte et nous lança en rigolant :
    
    — Ce n’est pas un peu fini, non ! Bande de voyeurs !
    
    La réponse de Philippe me surprit dans un premier temps car il ne perdait pas son assurance :
    
    — Nous avons des yeux, c’est pour nous en servir.
    
    Ce à quoi, je surenchéris sans réfléchir, en hochant la tête:
    
    — Oui et nous avons aussi des mains…
    
    Mettant provisoirement un terme à la discussion en comprenant soudain la portée de ma réplique. Géraldine nous demanda de sortir pour qu’elle puisse se sécher, mais je fis mine de ne pas l’entendre et je l’attendis en ouvrant le drap de bain, prêt à l’envelopper tandis que notre hôte se dirigea vers le salon. Elle ouvrit la porte de la ...
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