1. Céline


    Datte: 02/10/2019, Catégories: fff, fsoumise, fdomine, massage, init, Auteur: Azkinato, Source: Revebebe

    ... solutions : refuser des clientes ou demander à Lydia, Myriam ou Nadège de faire comme moi. Mon choix se porta sur Lydia. D’abord parce qu’elle était la plus ancienne, et parce qu’elle était très intelligente. Dès les premières semaines, elle comprit quel genre de massage je faisais, et une fois ou deux elle se proposa pour prendre mes clientes.
    
    Je lui demandai de rester un soir après son travail, en lui annonçant que j’avais une proposition à lui faire. Elle ne parut pas choquée par ma demande, d’autant qu’en même temps je lui proposai une augmentation, et je lui fis également comprendre que mes clientes savaient être généreuses si elles étaient satisfaites.
    
    — J’aurais parié que ce que vous faisiez n’étaient pas des simples massages, me dit-elle.
    
    Elle enchaîna alors :
    
    — J’ai eu une expérience une fois avec une fille, et cela ne m’a pas déplu. Malheureusement, je n’ai jamais pu retenter l’expérience. Je veux bien essayer, mais j’ai peur de les décevoir, de ne pas être à la hauteur.
    
    Lydia était très belle ; il ne s’est fallu de rien pour que je la prenne dans mes bras et que je lui fasse tendrement l’amour. Mais mon job d’employeuse freina mes ardeurs : je ne serais plus crédible à ses yeux par la suite.
    
    J’acceptai alors de lui présenter des clientes très tendres pour ses débuts. Ces dernières seraient d’ailleurs très heureuses d’essayer une nouvelle masseuse.
    
    Au fil des mois, j’avais mis assez de côté pour agrandir et embellir mon salon. La boutique d’à ...
    ... côté était à vendre ; j’en fis l’acquisition et fis faire les aménagements pendant la période estivale de fermeture.
    
    Petit à petit, j’augmentais sensiblement ma clientèle, et par là même mes collaboratrices. Lydia et moi ne suffisions plus à la demande, il me fallait une autre masseuse pour mes extras.
    
    Mais cette fois j’avais décidé de profiter moi aussi des douceurs réservées habituellement à mes clientes. Ma technique d’embauche changea totalement avec Céline. Une autre Céline, pas celle de mes débuts. Cette seconde Céline était une de mes employées depuis plusieurs semaines lorsqu’elle demanda à me parler en particulier.
    
    — Madame, je ne comprends pas pourquoi les « roses » font plus de pourboires que les « blanches ».
    
    J’avais établi cette distinction dès l’ouverture de mon nouveau salon agrandi, en référence à la couleur de leurs blouses. Les « roses » étaient celles qui acceptaient de faire les massages spéciaux. Elles n’étaient que deux : Lydia et Myriam, qui était passée elle aussi « de l’autre côté ». Les blanches ne s’occupaient que des soins ordinaires.
    
    Je lui expliquai alors que c’était normal, qu’elles étaient les plus anciennes et qu’elles avaient plus d’expérience que les « blanches ».
    
    Elle sembla se satisfaire de cette explication, mais revint à la charge quelques jours plus tard :
    
    — Madame, je pense que les « roses » font d’autres soins que nous. J’aimerais être formée comme elles à ces soins.
    
    Elle ne devait pas se douter de quels soins il ...