1. Céline


    Datte: 02/10/2019, Catégories: fff, fsoumise, fdomine, massage, init, Auteur: Azkinato, Source: Revebebe

    ... se posa sur ses seins mis à nu qui m’excitaient comme pas possible. J’étais tellement troublée par cette vision que je ne me rendis même pas compte que Céline avait tiré délicatement sur la ceinture de ma blouse. Comme je ne portais jamais de soutien-gorge, ma cliente put découvrir le haut de mon anatomie. Nous nous retrouvâmes toutes les deux uniquement vêtues de nos bas de sous-vêtements.
    
    Sa main caressa doucement mes cuisses avant de monter doucement et tendrement vers mes fesses. Je ripostai mollement en lui faisant valoir que je n’étais pas attirée par les filles. Elle me répondit tendrement :
    
    — Tu es de la même race que moi, de celles qui préfèrent les filles. Laisse-toi aller.
    
    Elle avait su lire en moi ; et sans que je ne l’en empêche, ses mains reprirent leur progression. Après avoir à peine effleuré mes fesses, sa main reprit sa lente progression vers mes seins. Une fois qu’elle les eût empaumés, son autre main saisit la mienne et la dirigea alors vers sa poitrine à elle. Oubliant la relation cliente-commerçante qui nous freinait, je me mis alors à lui prodiguer les caresses que je réservais à mes amantes. De son côté, elle fit de même. Je ne sais comment nous nous sommes retrouvées peu après dans une position de 69, qui faillit nous faire basculer de la table lorsque la jouissance nous atteignit simultanément.
    
    Lorsque nous eûmes repris nos esprits, elle me dit simplement :
    
    — C’est bien, ton salon de beauté ; mais si la majorité des femmes viennent ...
    ... ici pour être l’espace d’un moment plus désirables, il y en a qui cherchent le plaisir. Tu sais comme moi que les femmes de notre espèce doivent se cacher pour s’aimer. Si elles savent qu’elles peuvent trouver ici ce qu’elles cherchent, et qu’en plus la discrétion est garantie, tu vas gagner beaucoup d’argent.
    
    Sa diatribe m’empêcha de dormir une bonne partie de la nuit. Elle avait raison : moi-même, j’avais du mal à trouver des filles qui me donnaient du plaisir.
    
    Céline revint me voir à peine huit jours plus tard :
    
    — J’ai contacté quelques amies qui aimeraient venir se faire masser chez toi. Qu’en penses-tu ? Je peux leur dire de venir ?
    
    Une voix que je ne reconnus pas sortit de ma bouche :
    
    — Pourquoi pas ? On verra bien.
    
    C’est ainsi qu’une nouvelle clientèle vint fréquenter mon salon. Mon carnet de rendez-vous s’étoffait de semaine en semaine. De plus, cette clientèle si particulière attira également d’autres femmes qui ignoraient tout de mes massages si spéciaux. Le bouche à oreille aidant, j’en vins à être obligée de prendre une employée pour me seconder. Mais Lydia, cette dernière, ne s’occupait que des soins « ordinaires ». Peu à peu, Myriam, puis Nadège vinrent étoffer le personnel du salon.
    
    Malheureusement, les demandes spéciales étaient de plus en plus importantes. Seule, je n’y arrivais plus ; il me fallait donc une employée pour ces extras. Dans l’état actuel des choses, je ne pouvais pas me permettre une nouvelle embauche. Je n’avais que deux ...