1. La plage (Chapitre 2)


    Datte: 02/10/2019, Catégories: fhh, couplus, inconnu, vacances, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Partouze / Groupe Auteur: Pierre Favric, Source: Revebebe

    ... petite salope… Ta fente est pleine de mouille… Tu aimes te faire sucer la cramouille ?
    — Oui… J’aime ça. Répond-elle la voix hachée.
    — Tu voudras bien jouir dans ma bouche ?
    — Oui… ! Suce-moi. Confirme-t-elle.
    
    Et Denis plonge vers cette caverne béante, alors que Bénédicte hurle presque à ce nouveau contact, presse mes mains sur ses seins durcis, tourne la tête vers moi, cherchant mes lèvres, et saisit à travers mon short ma queue raide, au bord de l’explosion.
    
    Denis s’interrompt à peine pour commenter, ayant compris le pouvoir et l’effet des mots sur Béné :
    
    — Non seulement elle est trempée et elle bande, mais son tunnel est grand ouvert… M’annonce-t-il. Elle a un goût exquis !
    — Et son petit trou, lui aussi est ouvert ? Demandai-je à notre complice.
    — Oui, il est ouvert ! me répond Bénédicte elle-même, à ma stupéfaction, ce que me confirme Denis :
    — - Oh oui, il est ouvert… Et il a l’air bien souple. Tu t’es déjà fait prendre par là, coquine ?
    
    Et c’est moi qui confirme :
    
    — Je la prends partout… Mais ce petit trou-là m’est réservé. Il n’empêche que nous pourrons la prendre tous les deux ensemble, devant et derrière.
    — En sandwich ? Demande-t-il.
    — Oui, en sandwich, en levrette… Et en tout ce que nous voulons. Je crois qu’elle attend de nous beaucoup d’imagination et de plaisir.
    
    À prononcer ces mots, mes tempes bourdonnent, et je sens Bénédicte décoller. J’encourage Denis :
    
    — Suce-la bien profondément ! Je crois qu’elle va jouir ! Hein ma petite ...
    ... salope ? Tu aimes sa langue dans ta petite cramouille ?
    — Oh oui, salaud. J’aime ça… ! Râle-t-elle, le visage niché dans mon cou, le bassin agité de sursauts.
    — Je veux que tu lui décharges ton jus d’amour dans la bouche !
    — Oui… Oui… Parle-moi encore. Je vais jouir.
    
    Denis est lui-même pris de frénésie et lui bouffe sauvagement la moule. Elle se tord dans mes bras, donne des coups de reins vers la langue qui la fouille, et bafouille à mon oreille :
    
    — Oh putain c’est bon ! Oh le salaud. Il m’enfonce sa langue dans la chatte… Oh Pierre, il est en train de me mettre un doigt dans le cul. Oh oui, j’aime ça. Oh c’est bon. Je vais jouir…
    — Allez jouis, salope. Je veux te voir jouir ! lui crié-je, moi-même au bord de l’orgasme.
    
    Tant pis pour les voisins. La voir se donner ainsi à un autre devant moi, jouir de lui dans mes bras, est indescriptible.
    
    Je la sens tétanisée, ravagée par un orgasme puissant, elle se convulse dans mes bras et sous la langue de son amant, lui saisit la nuque et semble vouloir lui faire entrer le visage dans son intimité. J’imagine qu’elle lui décharge une belle quantité de foutre dans la bouche, car elle accompagne son orgasme d’un cri primal, profond et long.
    
    Nous restons longtemps immobiles, collés ainsi les uns aux autres, et ce n’est que lorsqu’elle semble avoir retrouvé son calme que Denis décolle sa bouche de son sexe, se relève, se penche sur elle et dépose sur sa bouche un long baiser, murmurant :
    
    — Tu jouis comme si tu allais ...
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