1. La plage (Chapitre 2)


    Datte: 02/10/2019, Catégories: fhh, couplus, inconnu, vacances, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Partouze / Groupe Auteur: Pierre Favric, Source: Revebebe

    ... d’elle, muet, caresse ses cheveux. Denis lui demande :
    
    — Tu nous veux bien tous les deux ?
    — Oh oui… Tous les deux, en même temps. Maintenant.
    
    Denis se dégage et j’ai un instant la vision obscène de sa rondelle dilatée, béante. Elle se rue sur moi, embouche ma queue, et en quelques instants me rend une érection d’enfer. Denis me demande de m’allonger, les fesses sur le coin du lit, au bord du matelas, les pieds à terre.
    
    Il guide Bénédicte qui m’enjambe, dirigeant de sa main ma bite raide à l’entrée de son vagin et m’engloutit, s’asseyant sur mon ventre.
    
    Elle me regarde avec un éclat que je ne connais pas. Elle semble au summum de l’excitation.
    
    Elle est distendue et brûlante, gluante de mouille, et s’allonge de tout son long sur moi. Elle offre son cul à son amant qui se colle à elle. Je sens la bite de Denis investir son anus. Je le sens progresser contre ma queue à travers la mince paroi du vagin de Béné, et enfin ses couilles se coller aux miennes.
    
    Bénédicte est tendue, haletante, attentive à la poussée du garçon dans ses reins. Coincée entre nous deux, prise et sodomisée, remplie, elle me griffe les épaules, me mord le cou délirant contre mon oreille :
    
    — Oh la vache… Oh ça c’est bon… Oh putain… Ne bougez plus !
    
    Et Denis l’encourage :
    
    — Et bien voilà ! tu les as tes deux hommes… Tu es vraiment la reine des salopes !
    — Oh oui c’est bon ! c’est ça ce que je voulais, tous les deux ensemble… Vous êtes des porcs, mais vous m’excitez ! Pierre je ...
    ... t’aime ! Parle-moi.
    — Profite bien, ma petite pute, jouis ! Je veux sentir Denis de décharger dans le cul… Je vais t’inonder la chatte.
    — Tu as fait de moi une pute ! tu m’excites…
    
    Bénédicte a joui, coincée entre nous, investie dans ses deux orifices, mais je ne me rappelle plus très bien notre explosion, sinon son hurlement à ameuter les voisins, puis une sorte de coma lorsque j’ai explosé dans son ventre.
    
    Après une douche, nous avons décidé de nous retrouver tous les deux, conscients d’avoir cette fois-ci été très loin dans notre délire.
    
    Denis nous a laissé son numéro de portable, l’air triste, et nous a fait promettre de le rappeler, nous assurant qu’il ne réalisait pas encore ce que nous venions de vivre. Puis il a formulé une dernière prière :
    
    — Bénédicte, vous m’avez laissé entendre que Pierre et vous aimiez les jeux d’exhibitionnisme. Alors si un jour vous l’acceptez, j’aimerais vous accompagner. Et pouvoir jouer avec vous… Pensez-y. Je reste encore quelques jours.
    
    Il a tendrement embrassé Bénédicte et nous a laissés partir. Sans un mot, nous avons récupéré la voiture et avons roulé silencieusement avant de rentrer à la maison retrouver nos amis.
    
    Mais cette histoire ne s’est pas arrêtée là… Et le soir même, lorsque nous avons enfin pris le temps de parler Bénédicte et moi, j’ai senti que quelque chose de nouveau se préparait. J’étais pourtant loin de me douter de ce qui allait arriver. Et cela demandera un nouveau récit.
    
    Bénédicte et Pierre FAVRIC. 
«12...891011»