Bénédict...ions (1) - Histoires de Sexe

Bénédict...ions (1)

... gêne.

Il me regarda quelques instants puis sans dire un mot, ouvrit son pantalon et en sortit son engin, déjà à moitié dur.

Il prit ma main et la posa sur sa queue d’une taille qu’aujourd’hui je qualifierais de moyenne, mais à l’époque, je n’avais pas moyen de comparer... Je ne faisais jusque-là qu’y penser et jouer toute seule.

Il se mit à remuer du bassin pour se branler dans mes doigts. Je le laissais faire, fascinée, et une sensation de chaleur intense montait dans mes cuisses, jusque dans mon ventre.

La première bite que je touchais était celle d’un homme bien plus âgé et qui me faisait envie depuis longtemps. Ce ne serait pas la dernière, et je ne les ai pas toutes aimées.

Je me rappelais, quelques instants plus tard, alors que son sexe avait bien grossi, qu’il était parti pour pisser et qu’il devait avoir encore envie. Je me suis même dit que si je continuais, il allait me pisser dessus, et cette idée me stimula à inonder mon petit short de mouille brûlante.

Mon excitation de petite pucelle déjà un peu perverse était telle que je me suis prise littéralement au jeu et que j’ai empoigné plus fermement la belle queue pour la branler moi-même et un peu plus fort.

Je me suis approché pour la voir de plus près et sentir son odeur légèrement musquée, qui était plutôt attirante qu’autre chose. Bien sûr, je mourais d’envie de poser ma bouche dessus et de l’avaler comme je les vois toutes faire dans les pornos que je mate assez souvent. Le gland était rose ...

... foncé, bien lisse et certainement très doux... Je n’osais pas.

Pour la garder très près du visage, j’ai continué à remuer, lui gémissait doucement. De ma main libre, j’ai décidé d’attraper ses couilles fermes et visiblement bien remplies, avec délicatesse. J’étais folle d’excitation de jouer avec ce matériel qui me semblait si délicieux.

La flaque de mouille qui se répandait entre mes cuisses m’obligeait à les tenir écartés, j’avais le feu dans le ventre.

L’un des doigts de cette main qui massaient ces grosses burnes finit par se tendre et alla lui effleurer l’anus, sans savoir si ce que je faisais était bien ou pas.

Sa réaction fut instantanée, non seulement il m’a laissé faire, mais il s’est penché de sorte que mon doigt s’y enfonce d’une phalange et qu’il puisse attraper mes petits seins tout en me glissant à l’oreille que j’étais une petite pute...

A ces mots, tout mon corps frémit... d’excitation, pas de vexation.

J’étais au bord de l’orgasme quand il glissa sa main sous mon short où celle-ci se trouva littéralement trempée. L’extase ne dura que quelques secondes lorsque, en voulant me doigter, il s’aperçut que j’étais vierge. Sa surprise fut telle qu’il s’éloigna d’un pas en me faisant perdre mes prises.

Quelque peu abasourdie par toutes ces montées d’hormones, je restais immobile et demi allongée. Il reprit sa bite en main et me regarda avec perversion et frustration.

De sa main gauche, il m’empoigna par les cheveux et se mit à se branler de sa ...