1. Bénédict...ions (1)


    Datte: 30/09/2019, Catégories: Trash, Auteur: deepysex, Source: Xstory 

    Bonjour à tous et à toutes, je suis Bénédicte, enfin Bené pour la plupart des gens me connaissant ou à peine.

Je vous invite à partager mon monde plein de rebondissements, moments de vie, de partage, de surprises et pas toujours bonne. Pour moi, les limites ne sont que des bornes qui me dérangent et m’empêchent d’être qui je veux.

Je vous préviens tout de suite, si vous aimez les personnes simples et les histoires à la papa ou la tendresse, vous n’êtes pas au bon endroit.

En effet, ce que je vis, je le vis pleinement et je me fous du qu’en-dira-t-on. J’apprécie même mon rôle quand il est dérangeant.

Si j’excite votre curiosité et j’espère, votre libido, suivez-moi.

J’ai 38 ans et voilà déjà une bonne vingtaine d’années que je m’amuse et que j’abuse de mon corps et de mes sens.

J’ai beaucoup d’histoires à raconter sur ce qui m’est arrivé, et sur ce que j’aimerais qu’il m’arrive, même si j’imagine que certains fantasmes ne se réaliseront jamais, par leur complexité ou à cause des extrêmes qui peuvent m’attirer.

Je suis brune, la coupe au carré, les yeux marron, un visage assez commun a priori, mais plutôt mignon quand même.

Les gens ne se retournent pas sur moi dans la rue, je suis plutôt discrète dans ma vie de tous les jours pour mieux protéger ma vie privée.

C’est peut-être aussi pour ça que durant mon adolescence, j’ai dû avoir recours à certains jeux solitaires à l’abri des regards tandis que mes copines avaient déjà des mecs.

Aussi loin ...
    ... que mes souvenirs me rappellent, j’ai toujours eu des pulsions sexuelles parfois difficiles à contrôler et même à comprendre lorsqu’on est trop jeune.

Ma fausse pudeur a trompé presque tout le monde, à l’exception d’un ami de mon père qui devait avoir à l’époque environ 45 ans, un charme fou, quand moi j’en avais 18 depuis peu et donc encore une gamine.

Il ne s’est jamais gêné pour me complimenter, me faire des sous-entendus discrets dès qu’il avait l’occasion de me croiser. Il avait vu qu’il m’attirait, pas idiot.

Un soir où j’étais déjà couchée, bien réveillée avec un magazine de cul (je fantasmais souvent), il s’est pointé dans ma chambre un peu éméché, prétextant s’être trompé de porte et chercher les toilettes.

Il était évidemment au mauvais endroit, pour autant l’idée m’a traversée presque malgré moi, qu’il me plairait beaucoup de le regarder pisser.

Il s’est excusé pour sa venue dans ma chambre et en passant la porte, il m’a entendue murmurer qu’il ne m’avait pas dérangée et qu’il pouvait rester un peu discuter.

Il fit demi-tour et me toisa, allongée dans mon lit sous la couette, et s’approcha en prenant bien soin de fermer la porte de ma chambre.

Mon invitation a dû lui sembler explicite, le magazine aussi, et il me dit : tu caches bien ton jeu toi... Puis il m’arracha la couette. Il me découvrit en short avec un T-shirt bien trop grand, aucun sous-vêtement, et des jambes fines qui se frottaient l’une contre l’autre, plus par excitation que par ...
«123»