1. LA PATRONNE SALOPE


    Datte: 30/09/2019, Catégories: Anal Mature, Hardcore, Auteur: jply, Source: xHamster

    ... sorti mon engin. Il était large et veineux, mais surtout, il sentait fort à cause du travail. Clara a humé et souri d’un air pervers. Tout en me regardant dans les yeux, la bourgeoise a tendu la langue et a léché du bout jusqu’à la base, nettoyant la sueur et la crasse avec gourmandise. Puis elle a soulevé mes couilles pour les avaler et en faisant traîner sa langue du côté de mon cul. J’avais tellement sué… Mais ça ne l’a pas gênée, au contraire : là aussi, elle a tout nettoyé avec des bruits de chatte qui lape une coupelle de lait.
    
    J’ai eu envie de la baiser, alors je l’ai carrément attrapée par la taille et je l’ai retournée sur le sac de plâtre. Sa teuch était toute lisse et coulait bien : quand j’ai écarté avec les doigts, ça a fait un filet transparent entre les lèvres. Pas besoin d’attendre : je l’ai plaquée vers l’avant, puis je l’ai enfilée. Elle s’est mise à beugler. Ah, elle en voulait ? J’allais la pilonner façon marteau-piqueur !
    
    Sous mes coups de bite espacés mais violents, Clara s’est enfoncée dans le sac de plâtre, qui a fini par crever. Il y avait de la poussière partout. J’ai foutu la main dans le sac, puis j’ai claqué son cul pour laisser une belle marque blanche. Paf ! Paf ! Une fessée pour la bourgeoise ! Elle criait fort à chaque tape. Son peignoir était tout défait, c’était hyper sexy… J’ai pilonné violemment, tout couvert de sueur et de plâtre. « Oh oui, Éric, vas-y, enfonce-là ! Mets-moi ta grosse bite, souille-moi comme une chienne ! »
    
    Ça ...
    ... m’a tellement surpris que Clara parle comme ça. J’ai bien failli jouir, alors j’ai un peu ralenti pour me calmer. Mais elle a agrippé mes fesses pour me forcer à garder le rythme. « Baise-moi comme ça, plus vite ! » Le plâtre volait partout, le peignoir pendouillait… « Jouis maintenant, je veux sentir ton sperme tout sale dans ma chatte ! » S’en était trop : j’ai lâché une fournée épaisse entre ses cuisses.
    
    Mais Clara ne m’a pas laissé de répit. Toujours vautrée sur le sac, elle a écarté son cul. « Lèche-moi l’anus, Éric. Tout de suite ! » C’est donc comme ça qu’elle prenait son pied, cette grosse salope ? J’ai donc léché son étoile, d’abord tout autour, puis au milieu, et enfin dedans. J’en ai même profité pour la doigter avec mon majeur tout crado. Elle gémissait en suppliant que je continue.
    
    Ça m’a rendu fou : il ne m’a même pas fallu deux minutes pour rebander. Sans demander son autorisation, j’ai profité qu’elle se dilatait à vue d’œil pour lui cracher dedans, puis je lui ai enfilé le cul sans ménagement. Je l’ai bourrée à nouveau, mais cette fois-ci par derrière et en lui tirant son chignon trop serré. Elle a joui très vite et moi, j’ai remis une petite giclée pour la route. Clara, toute essoufflée et honteuse, a ensuite remis son peignoir et s’est tirée en traînant la patte tellement je l’avais dérouillée.
    
    Elle m’a confessé plus tard qu’elle réservait d’habitude la sodomie à son mari. De sentir une autre queue, ça l’avait « troublée », comme elle a dit. Et après ...