LA PATRONNE SALOPE
Datte: 30/09/2019,
Catégories:
Anal
Mature,
Hardcore,
Auteur: jply, Source: xHamster
Histoire d'un autre : je m’appelle Éric, j’ai 28 ans et je suis électricien. Je précise parce que c’est important. Il y a 6 mois, j’ai travaillé pour une femme dans les Hauts-de-Seine. Elle s’appelle Clara, elle est plus âgée que moi, genre milieu de la quarantaine. Elle voulait que je refasse tout le système électrique du sous-sol de sa grande baraque pour le transformer en salle de jeu. On est vraiment chez les gros bourgeois, là. Son mari est trader à la Défense, mais il voyage beaucoup. Elle, elle reste à la maison. Je sentais bien qu’elle cherchait des distractions, la Clara. Elle se plaignait toujours devant moi que son type n’était jamais là, qu’il ne s’occupait pas assez d’elle. Et puis elle avait ce petit côté coincé qui m’excitait beaucoup, tu sais ? Blonde et mince, avec un chignon, toujours la bouche en cul-de-poule et se baladant devant moi en peignoir de satin… Je ne tenais plus, j’avais du mal à me concentrer sur le taf. Je prenais du retard exprès même !
Un jeu s’est installé entre nous : Clara me regardait travailler et nous flirtions. Je lui disais qu’elle était belle. Je complimentais ses tenues. Elle me jetait un regard un peu coquin, puis elle s’en allait. J’avais posé une fois ma main sur sa cuisse. Elle m’avait répondu froidement : « Qu’est-ce que vous faites, là ? ». Puis elle avait éclaté de rire, avant de se barrer en ondulant du cul. Je me branlais tous les soirs en pensant à elle, mais je m’étais fait une raison. Tout ça, c’était qu’un ...
... jeu.
Deux semaines après le début des travaux, j’étais sur une installation super difficile. Il y avait des sacs de ciment et de plâtre partout, j’avais du mal à me déplacer et j’étais en sueur, alors j’ai retiré le haut. C’est le moment que ma patronne a choisi pour débarquer. « – Ça ne vous dérange pas ? – Non, non, je vous en prie, Madame. » J’essayais de me concentrer sur le boulot. Mais au bout de quelques minutes à la voir se tortiller bizarrement, je me suis rendu compte… qu’elle se touchait en me regardant !
Clara s’était assise sur un sac de plâtre et avait relevé son peignoir. Rien dessous, juste sa chatte et son index qui branlait son clito. J’ai halluciné « – Vous ne m’avez pas fait votre gentil petit compliment, Éric. – Je suis désolé, le boulot est dur aujourd’hui. – Et il n’y a pas que le boulot qui soit dur ? – Venez près de moi… » Je me suis assis sur le sac à côté d’elle, tout rouge, entre la gêne et l’excitation. Là, la boss a sorti un nichon et a pris ma main toute sale pour la poser dessus.
« Vous n’avez rien à me dire sur ma poitrine, Éric ? » Je me taisais. Je sentais que ça l’énervait, mais je voulais voir jusqu’où elle irait. « Dites, vous êtes mal luné aujourd’hui ! Vous avez déjà pris une de vos clientes sur un chantier ? » Et elle m’a obligé à la palper plus fort.
Jamais, mais c’était le moment ! J’ai arrêté de me retenir et je me suis relevé pour me planter devant Clara. Comme ça, elle était à la bonne hauteur : celle de ma braguette ! J’ai ...