1. COLLECTION LESBIENNES. Pour échapper à mon patron (2/3)


    Datte: 29/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... belles fraises, je les avais sentis quand nous avons dansé.
    
    Ce que je découvre, c’est sa chatte, autant en tant que brune, je suis rasée chaque mois dans mon institut de beauté.
    
    Elle est simplement proprement taillée sur les bords me montrant un triangle pubien très bien entretenu.
    
    - Viens allons prendre un bain, je veux te faire voir ma détermination à ce que nous arrivions à tromper mon patron comme tu me le propose.
    
    Le bain se passe bien, je suis face à elle, au début l’eau est claire et je vois nettement le rose de l’intérieur de sa chatte dans la position où sont ses jambes comme moi.
    
    Voit-elle ce que je vois, mais nous en restons là, je pense qu’elle ne veut pas me choquer simplement en me savonnant le dos et m’essuyant avec la serviette ?
    
    Nous rejoignons mon lit, pardon, notre lit, il faut que je m’habitue à parler pour deux.
    
    La lumière éteinte, dans la nuit, je sens un bras passé le long de mon corps.
    
    C’est dans un demi-sommeil que je sens cette main remonter facilement sur mon corps jusqu’à mon sein le plus proche.
    
    Mon tee-shirt tire-bouchonné comme chaque nuit car j’ai tendance à bouger lui laisse la possibilité de se laisser attraper.
    
    Sait-elle ce qu’elle fait, sa respiration est normale, pas l’ombre d’une retenue me montrant qu’elle aussi est réveillée.
    
    Je me rendors, j’aime cette main, mon sein est au chaud.
    
    Quand je me ...
    ... réveille, c’est l’odeur du café qui me fait ouvrir les yeux.
    
    - Voilà ton petit déjeuner, j’ai vu que tu n’avais que du café, je suis descendu chercher des croissants, ils sont tous chauds.
    
    - Merci, revient à mon côté, dis-moi, cette nuit tu dormais où c’est volontairement que ta main est venue sur mon sein.
    
    - Tu n’as pas aimé !
    
    - Si c’est pour cela que je t’ai laissé faire.
    
    Susy de retour de la boulangerie est de nouveau dans le plus simple appareil.
    
    Elle se couche à mon côté manquant de renverser le plateau.
    
    Nous faisons la dînette mettant des miettes partout.
    
    Quand nous avons fini ayant tout nettoyé, je le pose au sol.
    
    C’est ma main qui empoigne le sein le plus proche alors que nos bouches se rejoigne.
    
    Sa main vient sur ma fourche et commence à me caresser le clitoris.
    
    Je m’enflamme.
    
    J’ignorais qu’une gouine pouvait donner autant de plaisir à une autre gouine.
    
    Mon mensonge envers mon patron à partir de ce jour devient réalité, je tombe littéralement amoureuse de cette fée du logis.
    
    Je retourne à mon travail le lundi après la veille avoir été chercher ses affaires et clore sa chambre d’hôtel.
    
    Susy m’apprend tout le Kama-Sutra des amours féminins basé sur la douceur comparé à mon ancien patron et amant qui me prenait comme une bête.
    
    Décembre arrive, les invitations sont lancées et à la date prévue nous arrivons toutes les deux… 
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