COLLECTION LESBIENNES. Pour échapper à mon patron (2/3)
Datte: 29/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Dans la vie vous prenez des décisions instantanées qui vous propulsent plus loin que vous n’aviez pensé quand vous avez émis cette énormité.
C’est le cas quand pour repousser les avances de monsieur Damien mon patron, je lui avoue le cœur sur la main, que je suis lesbienne et que je vais me marier.
Dans ma précédente place, j’ai cédé aux avances de mon patron jusqu’au moment où sa femme l’a appris et je me suis fait virer.
Cette énormité avancée, il me fait la surprise de vouloir me mettre en avant lors de la fête de fin d’année qu’il organise avec son épouse.
Il veut que dans sa société les couples homos comme le miens trouvent leur place.
Il veut être à la pointe des idées novatrices prônées par la société qui refuse les discriminations.
J’ai beaucoup réfléchi et il faut que je trouve une jeune femme qui accepte de jouer ce rôle pendant cette soirée.
Je me mets en chasse sur Internet de cette perle rare assez bonne actrice pour tenir ce rôle et m’éviter de retourner à la case départ qui serait le lit de monsieur Damien.
C’est dans un bar où se réunissent des lesbiennes comme me l’a apprise la patronne qu’elle me dépanne en appelant une jeune femme qui fréquente occasionnellement son bar.
Madame, comme l’appellent ses clientes l’appelle et en ce moment elle se trouve en face de moi au fond du bar.
Véritable petite poupée blonde, en la voyant je la baptise dans ma tête boucles d’or nom de la jeune héroïne de ma jeunesse avec ses trois ours ...
... que maman me lisait.
Je lui exprime ma demande lui expliquant que j’ai dit à mon patron que je vais me marier avec mon amie lesb… cet été.
- Tu veux m’épouser, ne t’en fais pas j’ai compris, tu cherches ce que tu as du mal à dire une lesbienne, une gouine et tu as du mal à prononcer ces mots.
- C’est Madame la patronne qui m’a dit que vous n’aimiez pas que l’on vous appelle des gouines, qu’il fallait dire lesbienne.
- Pour ma part j’aime que l’on me dise que je suis une gouine, ne te formalise pas.
À ce moment, Giselle s’approche de l’appareil à disque oeuvre d’art du bar de Madame.
Elle parlait avec une femme la quarantaine, sorte de dominatrice, elle est entièrement recouverte de cuir noir jusqu’aux bottes et aux gants montant jusqu’au coude.
Il ne lui manque que la cagoule et la cravache pour ressembler à la femme vue lors de ma quette du milieu lesbien sur une vidéo que j’ai vite coupée.
Je me voyais mal débarquer à la fête de mon patron au bras de ce genre de femme ayant un mauvais genre.
- Allez les filles venez danser, il faut profiter de la vie.
Elle s’est collée à cette femme, dansant d’une façon presque honteuse.
- Maryse, elle a raison, j’adore danser.
Nous nous levons, qui enlace l’autre, je l’ignorerais toujours, la sensation est étrange, je n’ai dansé qu’avec des hommes qui rapidement voulaient me faire sentir leur virilité.
Là c’est son ventre plat qui se colle au mien, ses seins, non, nos seins qui se collent les uns aux ...