1. Collocation


    Datte: 29/09/2019, Catégories: Hardcore, Première fois Inceste / Tabou Auteur: wolfie91, Source: xHamster

    ... tout en te caressant les seins.
    
    — Humm …
    
    — Comme je ne suis pas avec toi, j’espère que tu te caresses les seins pour moi.
    
    — Tu veux, demanda-t-elle. Et toi, tu te branles ?
    
    — Oui. Pince-toi les mamelons. C’est bon.
    
    — Oh oui ! continue à me dire ce que tu me ferais.
    
    — Ensuite, je te lècherais tes pointes toutes dures, et parfois je les mordillerais. En même temps, je glisserais ma main entre tes jambes et te caresserais l’intérieur des cuisses, jusqu’à ce que tu me supplies de te branler. Toi, tu ondulerais de plaisir. Tes gémissements m’exciteraient. Ton corps serait incontrôlable. C’est seulement à ce moment que j’introduirais un doigt dans ta chatte.
    
    — Oh oui ! ne t’arrête pas, j’ai ma main entre mes cuisses et je me fais tout ce que tu me dis. C’est trop bon.
    
    — Ma langue délaisserait tes seins pour glisser sur ton corps. Elle descendrait jusqu’à ton clito, que je lècherais avec passion. Je me serais tourné pour que toi aussi tu puisses jouer avec mon sexe. Tu le prendrais dans ta bouche…
    
    — Oh oui ! je l’imagine, humm. Il est dur. C’est bon, je sens que ça vient.
    
    — Alors nous jouirions ainsi, chacun dans la bouche de l’autre, tu veux ?
    
    — Oh oui ! je … le … veux … ça y est, je jouis !
    
    Le fait de l’entendre jouir au téléphone, déclencha mon propre plaisir. Mon sperme se répandit sur mon ventre et dans mon nombril.
    
    — Moi aussi j’ai joui, lui dis-je, j’en ai partout.
    
    — Humm… Dommage que je ne sois pas là, je t’aurais fait ta toilette, ...
    ... je t’aurais léché tout ça. Je ne sais pas comment je vais tenir toutes les vacances sans ma dose de sexe.
    
    — Pourquoi, c’est une drogue pour toi ?
    
    — Bien sûr, depuis que tu m’y as fait goûter, je ne peux plus m’en passer.
    
    Ainsi, pendant presque toute la durée de nos vacances, chaque soir, grâce au téléphone, nous nous retrouvions et assouvissions nos pulsions sexuelles.
    
    Retourner vivre chez ses parents, c’est bien, on y retrouve ses racines, ses habitudes. Les premiers temps, on est même enchanté. Mais ces mêmes habitudes pourtant deviennent rapidement pesantes dès que l’on a goûté à la liberté d’avoir un « chez soi », surtout si en plus on est amoureux. Tout chez moi, ou plutôt chez « mes parents » devrais-je dire, me paraissait terne, car « chez moi », maintenant, c’était notre petit nid d’amour avec Martine. Comme elle me manquait ! Chaque jour je ne vivais qu’avec l’impatience d’être au soir pour l’avoir au téléphone. L’ambiance à la maison s’en trouva altérée. Chaque jour, on se disputait avec mes parents pour des broutilles. Ce qui devait être « les fêtes de Noël » était devenu « le cauchemar de Noël ». Pour m’échapper à cette tension familiale, je me suis inventé un réveillon avec des amis pour le « Jour de l’An », bouclai ma valise et rentrai à l’appartement. J’étais trop en manque de Martine. J’avais besoin de sentir son odeur, voir ses affaires, de me retrouver chez nous.
    
    Du côté de chez Martine, la situation était différente car ses parents étaient ...
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