Collocation
Datte: 29/09/2019,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: wolfie91, Source: xHamster
... n’étant qu’en fin de journée, je passai la journée dans l’appartement à tourner en rond comme un lion en cage. Les heures me paraissaient interminables. J’avais hâte de rentrer chez moi car je ne supportais plus de rester dans cet environnement où tout me rappelait Martine. Enfin, l’heure de mon train arriva. Pour passer le temps durant le trajet, j’avais pris un livre, mais je n’arrivai pas à me concentrer. Je dus relire trois fois le premier chapitre pour me rendre compte que cela ne servait à rien.
Ce fut horrible de dire bonjour à mes parents, rejoindre leur voiture et faire le chemin pour rentrer à la maison. J’étais content de les revoir, mais je n’avais qu’une hâte, c’était de téléphoner à ma cousine.
Prétextant ne plus savoir si on avait bien fermé le gaz, je téléphonai à Martine.
— Allô, Martine ?
— Oui, comme je suis contente d’entendre ta voix. Tu me manques déjà tellement !
— Tu es seule ?
— Oui, et toi ?
— Mes parents sont dans le salon, je leur ai dit que je ne savais plus si on avait bien fermé le gaz.
— Moi, j’ai dit que j’avais un copain qui s’appelait Christophe, comme ça on pourra se téléphoner le soir.
— Bon OK, alors je te rappelle tout à l’heure, vers minuit, quand mes parents seront couchés.
— OK, à tout à l’heure, me dit-elle, je suis désolée pour ce matin.
— Ce n’est pas grave, à ce soir.
Ce fut la journée la plus longue de ma vie. Moi qui croyais qu’une heure de cours d’économie ressemblait à l’éternité, là je ...
... prenais enfin conscience de ce qu’était réellement l’éternité. Plus on se rapprochait de minuit et plus la trotteuse de ma montre devenait paresseuse. Elle semblait rester accrocher infiniment à chaque seconde. Comme s’il ne suffisait pas que le temps se fige, mes parents me saoulaient de questions sur la fac, la colocation, s’ils ne me manquaient pas trop, si Martine n’était pas trop chiante etc.
Vingt-trois heures, ça y était, le sprint final commençait. Il restait moins d’une heure. Vingt-trois heures trente, l’envie de téléphoner me démangeait déjà.
Vingt-trois heures quarante-cinq et mes parents n’étaient toujours pas couchés. Ce n’est pas possible, ils en faisaient exprès. Minuit dix, j’étais enfin seul dans mon lit, avec le téléphone à côté de moi.
Elle décrocha à la première sonnerie.
— Enfin, me dit-elle, j’ai bien cru que tu n’appellerais plus.
— Mes parents ne voulaient pas aller se coucher, lui répondis-je, mais ça y est, tout le monde est au lit.
— Toi aussi ?
— Oui
— Ça me fait drôle d’être seule dans mon lit, tu n’es plus là pour me réchauffer les pieds.
— Si j’étais avec toi, ce ne serait pas tes pieds que je réchaufferais…
— Ne commence pas, dit-elle. Je n’ai pas arrêté de penser à toi toute la journée et là, en plus d’entendre ta voix, ça me fait… de l’effet…
— Tu es excitée ?
— Oh oui ! beaucoup, me répondit-elle.
— Si j’étais avec toi, je sais ce que je te ferai. Je commencerais par t’embrasser dans le cou comme tu aimes, ...