Deux plus deux - Histoires de Sexe

Deux plus deux

... tu ne me donnes pas assez.
— Mais non, ça ne me choque pas. Mais en même temps, je crois que nous avons un peu délaissé notre intimité au profit de notre vie sociale ces dernières années.
— Je pense comme toi ma chérie. Mais ça va changer, tu ne crois pas ? C’est un peu pour cela que nous déménageons, non ?
— Si, tout à fait. Tu sais depuis que tu es parti, j’ai arrêté de sortir, je n’y vois plus d’intérêt, puisque ce sera fini dans deux semaines. Et j’ai aussi bien lâché prise au boulot. Je redécouvre ce que c’est que d’avoir du temps pour moi. J’en ai bien profité.
— Pour te caresser ?
— Oui, notamment. Ça change tout quand on a du temps, tu ne trouves pas ?
— Si, complètement… J’essaie de t’imaginer, poursuivis-je après une pause où l’image de ma femme la main fouillant entre ses jambes ouvertes fit se dresser encore davantage mon sexe.
— Comment tu m’imagines ?
— Couchée sur le dos.
— Oui.
— Jambes écartées.
— Oui.
— Sexe offert.
— Oui, mais il n’y a personne pour prendre le cadeau.
— Tes doigts le peuvent !
— Le bout du majeur…
— S’approche de ton bouton.
— Il en fait le tour,
— Glisse sur tes lèvres humides,
— Oui…
— Puis plonge dans ta grotte pour y goûter ta liqueur,
— Oui, c’est ça…
— S’y enfonce, profond, profond, puis en ressort trempé
— Oui, c’est bon !
— Remonte vers le bourgeon qui n’attend que ça
— Oh, il aimerait tellement plus encore !
— Mes lèvres par exemple ?
— Oui, tes lèvres, mon amour !
— Ton majeur se double de ton ...

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— De mon pouce, plutôt.
— Oui, si tu veux, de ton pouce. Ils attrapent délicatement ton clitoris, et le caressent tout en tournant.
— Oh ! c’est bon, fit Caroline en hoquetant de plaisir.
— Continue, comme cela, doucement sans t’arrêter.
— Oh mon chéri.
— Ferme les yeux. Ne pense qu’à ton plaisir.
— C’est toi que je veux !
— Je suis là chérie, c’est moi qui guide tes doigts.
— Je veux ta bite en moi !
— C’est comme si tu l’avais, répondis-je, en sueur.

Le sang battait dans mon sexe turgescent. J’avais fermé les yeux, imaginant Caroline se donnant du plaisir. En me contorsionnant, j’avais réussi à me déshabiller, et maintenant complètement nu, je caressai ma verge dure comme du bois.

— Oh, c’est bon ! Je te veux.
— Je te prendrai dans mes bras.
— Je t’aime Romain.
— Mes doigts se mêleront aux tiens.
— Oui, continue.
— Pouce avec pouce, majeur avec majeur, tournant autour de ton clito.
— Mmm…
— Je le sens dur entre mes doigts, gorgé de plaisir.
— Je vais…
— Je m’approche de ta grotte.
— Viens !
— J’entre en toi. Tu es si douce, si humide
— Romain ! (Sa voix semblait empreinte de panique) Romain, je jouis ! Oh, je jouis ! Continue, ne t’arrête pas !
— Je suis en toi, au fond de toi, mon amour. Je t’aime au plus profond de ton corps.
— Ohhhh…

Cela dura une minute, deux peut-être. Caroline gémissait, sanglotait presque, de l’autre côté du téléphone. J’étais laissé seul à ma bandaison tellement puissante qu’elle me faisait mal. Je n’osai toucher mon ...