Le Vieux Fermier - Histoires de Sexe

Le Vieux Fermier

... étais nue dessous, tu as quitté ton string dans ta voiture, salope, jz t 'excite aussi!!

— Ohhhh... non... chuutttttt... non, non.

Les mains rapeuses palpent les dentelles du devant, suivent les lanières sur l'avant de mes cuisses jusqu'aux attaches et remontent lentement. Au passage, il défait la ceinture de la robe et écarte légèrement celle-ci, il effleure doucement mon pubis glabre du bout des doigts, je frémis.

— Oui, oui làaaaaaaaaaa, c'est bien, laisse toi faire, tu es rasée!

— Ohhhhhh... nooooonnnnn....

Ses mains se posent ensuite le long de mes hanches et descendent à nouveau le long de mes cuisses suivent les lanières arrières. Je me cambre un peu plus. Les mains passent sous la robe et remontent doucement jusqu'à la peau nue au-dessus des bas. J'écarte un peu plus les jambes, il commençe à relever doucement la robe jusque sur mes reins. Sa main droite passe devant et il me caresse avec lenteur le sexe ruisselant, puis il insée son majeur à l'intérieur de ma fente humide et commençe un va-et-vient, de sa main gauche.

— Ouiiiii, tu mouilles ça te plaît! Putain ce que tu peux me faire bander! Ouiiii, c'est bien tu sens bien mon doigt, en veux un autre?

Il bande de plus en plus, son sexe devient effectivement énorme, même les plus grosses courgettes de l'étal ne souffent pas de la comparaison. Mais lui tournant le dos, je ne peux pas avoir une idée de la grosseur réelle. Il dégrafe ses bretelles et le long de ses jambes frêles, son pantalon tombe ...

... sur ses chevilles, il ne porte pas de slip.

Pour lui faciliter les caresses, j' écarte encore plus les jambes et penche le buste en avant, la robe toujours en haut de mes reins, qui s'étaient cambrés malgré moi.

La libération de son sexe effectuée, tout en continuant son en va-et-vient, maintenant avec plusieurs doigts à l'intérieur de ma chatte qui ruissele et s'écarte de plus en plus, il remonte sa main libre jusqu'au sein gauche, qu'il caresse sous le mince tissu. Puis il commençe à l'écarter lentement et fait sortir mes deux seins. Un gémissement de contentement, s'échappe de mes lèvres.

— Oh ouiiiiiii, c'est bon, caressez moi les seins, ouiiiiii... comme ça!

— Je savais que tu ne désirais que ça, petite Salope. Je voyais bien ton manège lorsque tu venais, je te plais tant que ça! Tu as vu ma bite? Elle est grosse, hein! Tu vas te régaler quand je vais la mettre dans ta jolie chatte, et ta minette ruisselle, le vieux Louis te fais de l'effet petite Salope!

Il se plaque contrer ma croupe dénudée, son énorme rouleau de chair bandant au maximum s'insinue entre mes jambes, et il le frotte doucement contre la fente de mon sexe. Sa main droite abandonnant le va-et-vient qui prodigue un flux humide de plus en plus important, remonte elle aussi vers ma poitrine soutenue par le demi-soutien-gorge. Il se saisit délicatement des deux tétons et les fait rouler entre son pouce et son index, puis il en pinçe l'extrémité entre ses ongles, les tire, les malaxe, je les sens ...