Le Vieux Fermier - Histoires de Sexe

Le Vieux Fermier

... vieil homme?

— Tu n'es pas à moi! Tu es libre comme l'air, tu fais comme bon te semble! Et il me semble que ton fantasme à l'air de vouloir devenir réalité!

— Oui, pourquoi ne pas tenter l'expérience, tu vas me prendre pour une petite salope.

— Mais, non je comprends qu'une grosse bite t'excite, et puis tu me raconteras, ça m'excite moi aussi.

Aujourd'hui, confortée et revigorée par les propos de Max, je décide de voir ce que veut vraiment ce vieux fermier. Nue, je fouille dans le tiroir de la commode de ma chambre et attrape une paire de bas et un porte-jarretelles noir, que j'enfile. Je fais courir les bas sur mes jambes et les accroche. Mon sexe, presque imberbe semble presque sourire entre les deux lanières du tissu noir, reconnaissant des égards qu'on va lui accorder. La vue de ma chatte à l'air dans le miroir me fait frissonner.

Tout au long du parcours en direction de la ferme, j'ai une petite boule d'appréhension dans l'estomac. Mais les dés sont jetés! Est ce que je vais le regretter?

Il n'y a personne dans la cour de la ferme. En levant les yeux, j'aperçois le vieux bonhomme derrière une fenêtre de son hangar, sûrement alerté par le bruit du moteur de ma voiture. Il n'ouvre le magasin qu'à partir de 15 heures, il est 13 heures 30, personne ne viendra me déranger. Je me gare perpendiculairement à cette fenêtre, coupe le moteur.

Le vieux m'épie toujours. J'ouvre en grand ma portière, et jette un regard aux alentours, pas âme qui vive! Je porte ...

... une robe légère grise ouverte sur le devant, assez ample. Elle se ferme par une ceinture nouée à la taille. Je la remonte sur mes cuisses, pivote ensuite sur mon siège et me met face à la fenêtre, les fesses posées sur le bord du fauteuil. M'assurant que le vieil homme me regarde toujours, je me contorsionne sur le siège pour quitter mon string, range le triangle de tissu noir dans mon sac tout en laissant mes jambes assez écartées, je suis sûre que le vieux se tripote le sexe en me regardant, je descends de la voiture, la robe relevée jusqu'à la taille, pour bien lui montrer que je suis nue dessous.

Je vérifie dans la vitre de la portière, en me penchant que le haut de ma robe s'entrebâille suffisamment pour laisser apparaître, mes deux seins soutenus par le demi-soutien-gorge noir. Je fais la moue et desserre ma ceinture pour lui permettre de bailler plus largement. Une légère brise écarte les pans de ma robe, dévoilant mes bas fumés et les attaches du porte-jarretelles en dentelle noire, ainsi qu'un bout de peau nue au-dessus des bas. Satisfaite de mon examen, je grimpe les cinq marches du hangar et pousse la porte.

Le vieux paysan, me vit arriver et de derrière la fenêtre qui surplombait exactement la voiture, il n'avait rien perdu de la scène, il se précipita à ma rencontre.

— Bonjour, jolie demoiselle, Vous êtes en avance aujourd'hui. Mais vous êtes toujours la bienvenue dans mon petit magasin.

— Oui, et je vous remercie de votre accueil dis-je avec un sourire ...