1. Épidémie chez les dames 3


    Datte: 24/12/2025, Catégories: #historique, #adultère, extracon, enceinte, vengeance, 69, fgode, double, Partouze / Groupe fdanus, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... discussion la laisse songeuse.
    
    Quelques jours plus tard, elle demande à Suzette :
    
    — Pourrais-tu me montrer comme Pierre s’y est pris pour t’habituer ?
    
    L’autre met un moment avant de répondre, le temps de réaliser de quoi il est question :
    
    — Comme il siéra à Madame. Commençons par la toilette.
    
    En opérant délicatement, elle introduit son doigt avec la serviette dans le cul. Elle anime ensuite son doit d’un lent mouvement circulaire qu’elle amplifie petit à petit.
    
    — Cela va-t-il, Madame ?
    — Cela fait bizarre de sentir entrer quelque chose. C’est un peu sensible et gratte un peu.
    — Je vais mettre de l’onguent, cela devrait aider.
    
    Elle badigeonne généreusement la zone, fait entrer et sortir son doigt, toujours en l’animant d’un mouvement circulaire.
    
    — Est-ce mieux Madame ?
    — Oui, mais cela n’est point très agréable.
    — Encore un petit peu et nous arrêtons. Nous reprendrons ce soir.
    — Nous verrons.
    — Il vaut mieux ne pas trop tarder, sinon il n’y aura jamais d’évolution.
    
    Le soir, c’est Suzette qui remet le sujet sur le tapis.
    
    — Madame, j’ai apporté ce qui a servi à Pierre pour m’aider.
    
    Bien qu’hésitante, la curiosité l’emportant, Antoinette-Marie opine d’un :
    
    — Bon, allons-y.
    
    La camériste montre un morceau de bois à peine plus gros qu’un doigt et long d’à peine quatre pouces, avec un cordon fixé à une extrémité.
    
    — C’est assez mince. Cela devrait bien se passer.
    
    La marquise regarde l’objet dubitativement.
    
    — N’est-ce pas un peu ...
    ... long ?
    — Que nenni. Monsieur le Marquis et Pierre sont plus longs.
    — Pourquoi la ficelle ?
    — Pour le retirer sans problèmes.
    
    Les secondes s’égrènent, Antoinette-Marie regarde l’objet d’un œil circonspect.
    
    — Madame voudrait-elle bien se mettre à quatre pattes, que je puisse procéder.
    
    Cela la fait sortir de sa rêverie.
    
    — Oui… Oui, est-il répondu avec fort peu d’enthousiasme.
    
    Malgré tout, elle se met en position. Suzette recommence ses pratiques du matin. Une fois l’endroit bien détendu, elle y enfonce doucement son instrument. Bientôt, seul le cordon dépasse.
    
    — Voilà ! Tout est entré.
    — J’aurais cru que cela serait plus difficile. Tu peux le retirer.
    — Pas tout de suite. Il faut le conserver un peu pour en tirer bénéfice.
    — Un peu, c’est-à-dire.
    — Au moins une heure, mais Madame peut se lever. Elle n’est pas obligée de rester ainsi.
    
    Presque deux heures plus tard, au moment de se mettre au lit.
    
    — Il est temps de le retirer maintenant.
    — Certainement Madame. À vous voir, je pense que cela s’est plutôt bien passé. Au début, vous étiez un peu raide et empruntée, mais à la fin, vous bougiez avec naturel.
    — Il est vrai. À la fin, cela allait mieux.
    
    Le lendemain matin, sans que Suzette n’ait rien suggéré, Madame la Marquise se met à quatre pattes. Après un moment un malaisé, tout s’arrange. Elle garde le leurre entre ses fesses jusqu’au déjeuner, sans qu’aucune des personnes qu’elle croise ne se doute de rien. Pas même son époux.
    
    Trois jours plus ...
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