1. Épidémie chez les dames 3


    Datte: 24/12/2025, Catégories: #historique, #adultère, extracon, enceinte, vengeance, 69, fgode, double, Partouze / Groupe fdanus, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... passent d’autant mieux que la donzelle a été dûment catéchisée et entraînée par ses sœurs sur ce qui fait plaisir aux hommes. Ce avec l’aide Jean-Marie, le frère de Perrine, l’ex-camériste de Mademoiselle de Villerutay. Aussi ne se montre-t-elle pas avare de caresses tant manuelles que buccales, montrant une belle aptitude à ces dernières.
    
    Une autre a monnayé son pucelage. C’est Perrine, qui s’est décidée à quitter le service domestique pour recevoir des clients. À dire vrai, elle n’aurait peut-être pas franchi le pas sans l’attitude de son frère. Icelui a été engagé pour assurer tranquillité et calme dans la maison. Après avoir baisé et donné du plaisir à Claire au retour de la tournée de recrutement, il s’est cru avoir des droits sur elle. Il a dû déchanter, Mademoiselle de Villerutay a certes eu un moment de faiblesse, mais elle s’est reprise et n’entend nullement s’en laisser imposer. Elle est la patronne et a bien fait comprendre au prétentieux la place de chacun. Il s’est consolé en usant des pensionnaires. Ce avec un peu trop d’assiduité. Il a fallu le modérer. Ce qui lui a, encore, fait grincer des dents. Il s’est mis à critiquer tout et son contraire. Perrine était la première destinataire de sa bile. Cela a fini par l’agacer au plus haut point. Un jour, exaspérée, elle lance :
    
    — Aucune fille n’a l’air à la hauteur. Peut-être moi le serais-je ?
    — TOI !!!! Ma pauvre fille, ça m’étonnerait. De toute manière, je ne te laisserais pas faire. Ce n’est pas ...
    ... convenable.
    — Au nom de quoi, s’il te plaît ?
    — Tu es ma sœur.
    — Je suis ta sœur, et après.
    — C’est moi l’homme de la famille, tu feras ce que je te dis.
    — Tu parles de ce qui est convenable. Tu ferais mieux de te taire. Ta conduite, depuis que nous sommes ici, t’en retire le droit.
    — Tais-toi. Tu ne sais pas ce que tu dis. Tu n’as pas à me juger.
    — Toi non plus, tu n’as pas à juger ma conduite.
    
    La discussion se poursuit, devenant de plus en plus acrimonieuse, jusqu’à ce que Jean-Marie assène une claque à Perrine. Cette dernière le foudroie du regard avant de lâcher :
    
    — Butor. Tu as eu tort de me frapper. Tu vas voir.
    
    Elle tourne les talons en se frottant la joue. Illico, elle fonce voir sa patronne pour lui annoncer sa décision de changer sa situation au sein de la maison et de rejoindre les pensionnaires « actives ».
    
    La colère passée, elle regrette un peu sa décision et pense à se raviser. Ne pas avoir l’air de manquer constance dans ses décisions, de changer d’avis comme de chemise, et surtout sa rancune vis-à-vis de son frère, finissent, par avoir raison de ses réticences et scrupules.
    
    Une fois confortée dans sa décision, à l’exemple d’Hermance, avant de perdre son pucelage, elle s’entraîne avec deux des collègues de son frère à caresser, pomper. Elle va même plus loin en se faisant enculer. Certes, les débuts ont été délicats. La première fois, elle a cru que l’on tentait de faire entrer un tison dans son postérieur. Malgré ces débuts peu encourageants, elle ...