1. La reconversion


    Datte: 23/12/2025, Catégories: fh, fhhh, Collègues / Travail plage, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe

    ... dose. C’est quand j’ai fini que je la vois pleurer.
    
    — Ça ne va pas ?
    
    Cela se transforme en gros sanglots.
    
    Élodie
    
    Je n’ai pas pu me retenir, je me suis mise à pleurer. Trop d’émotions, de questions, de découvertes. Trop de plaisir aussi.
    
    — C’était la première fois, je lui avoue.
    
    Thomas
    
    Et merde, une pucelle ! J’aurais pu m’en douter, j’aurais été moins rude avec elle.
    
    D’une main, je la fais lever. Putain, qu’elle est belle ! Les cheveux ondulent sous le vent, le soleil resplendit sur sa peau, les seins ballottent doucement, la toison brune tranche sur le blanc de son ventre, les fesses sont un pousse au crime. Je la serre contre moi, sa tête contre mon épaule tressaute encore, elle se calme progressivement. Ce n’est pas mon cas ; sentir ses seins comprimés contre moi, agripper ses fesses, ce n’est pas ça qui va me faire débander. Je lui dis :
    
    — On va devoir rentrer…
    
    Je l’entraîne vers l’eau et la nettoie délicatement de toutes les traces de foutre, elle ne fait pas un geste, me laisse faire.
    
    Élodie
    
    Il me lave, m’essuie comme une mère le ferait à son enfant. Mais je suis une femme, maintenant ! Puis il s’accroupit pour nettoyer son sexe encore raide, le bout rouge à découvert. Il n’a presque pas de poils pubiens, le pénis jaillit de son ventre comme le tronc du chêne sort de terre, droit, puissant. J’ai encore du mal à réaliser que c’est cela que j’ai pris en moi et qui m’a donné un tel plaisir !
    
    Thomas
    
    Avant de rejoindre le couple ...
    ... qui nous attend près de la voiture, je lui demande :
    
    — On se revoit quand ?
    — Je ne sais pas, me dit-elle après un moment d’hésitation, cela va trop vite pour moi.
    
    Élodie
    
    Contrairement à ce que je pensais, la nuit a été bonne, j’ai même très bien dormi.
    
    Dans la cohue du petit déjeuner, une voix derrière moi.
    
    — Tu vas faire une balade ?
    
    C’est Thomas, il a remarqué mon short, mes chaussures de randonnée.
    
    — Je vais à la chapelle Saint-Martin.
    — Je ne connais pas. Je peux t’accompagner ?
    
    Je pensais profiter de cette promenade pour réfléchir à ce qui s’était passé, mettre mes idées en ordre. Mais c’est peut-être l’occasion de lui parler de ma foi.
    
    Thomas
    
    Les femmes, j’en ai baisées pas mal, pourtant j’ai passé la moitié de la nuit à penser à Élodie, à la douceur de sa chatte, à la fermeté de ses seins, à la courbe de ses fesses. Je suis content qu’elle me fasse si bon accueil ce matin, son dépucelage ne l’a pas découragée.
    
    On monte à la chapelle, le chemin est étroit, elle marche devant. De voir son mignon petit cul se balancer devant moi me réveille complètement. La chapelle, c’est décevant : quatre murs de guingois, un toit de tuiles envahies par la végétation, la porte est fermée, pas moyen de voir l’intérieur. À l’extérieur, juste une petite niche avec une statue, assez grossière. Élodie va chercher quelques fleurs des champs pour les déposer au pied du saint.
    
    De la voir se baisser pour cueillir les fleurs, je pète les plombs. Je m’approche ...
«12...678...20»