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La reconversion
Datte: 23/12/2025, Catégories: fh, fhhh, Collègues / Travail plage, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe
... envahi. — Putain, elle est serrée la salope. Ensuite, les deux bites se mettent en mouvement. Je me suis réveillée dans ma chambre, au milieu de la nuit. Le corps marbré de rougeurs, les seins couverts de morsures, de suçons, le vagin et mon rectum douloureux, des traces de sperme depuis le ventre jusque dans les cheveux. Tout me confirme que ce n’était pas un cauchemar, que c’est bien moi la femme qui a été prise par plusieurs hommes cette nuit, la femme qui non seulement l’acceptait, mais le réclamait avec des mots orduriers… Comment comprendre que j’ai pu dire : « Encule-moi » ou « faites-moi encore jouir avec vos grosses bites » ? Je suis tombée bien bas. Je ne pourrai pas recroiser Marco ou ses copains, j’aurais trop honte. Et j’en veux beaucoup à Thomas, sans lui, rien de tout cela ne serait arrivé. Ma décision est prise, je rentre à la maison. Thomas Je n’ai rien compris. Je devais retrouver Élodie après son excursion au Verdon, j’attends, personne. J’appelle, laisse des messages, pas de réponse. Pour finalement apprendre qu’elle est partie en urgence ce matin. J’espère que ce n’est pas trop grave. Peut-être un problème avec ses parents, elle m’avait dit qu’ils étaient dans le Centre de la France. Ce qui me gêne, c’est qu’elle ne m’a pas donné de signe de vie de toute la journée. Élodie Dès mon retour, j’ai confessé au père André mes égarements. Il m’a conseillé d’oublier toute cette histoire et de reprendre ma vie ...
... antérieure. Thomas Sans Élodie, ces vacances n’ont plus la même saveur. Même Mélanie n’arrive pas à me dérider. Hier soir, c’était la traditionnelle soirée dansante. Comme il faisait beau, la sono était dehors, à l’écart des bâtiments pour ne pas gêner ceux qui veulent dormir. Lorsque l’animateur lance une séquence de vieux tubes des années 70 et 80, Mélanie vient m’inviter à danser. D’entrée, elle se colle contre moi, les mains autour du cou, les seins écrasés contre mon torse, le bassin soudé au mien, on ne pourrait pas glisser une main entre nous. Heureusement, sous ce faible éclairage, on n’attire pas l’attention. — Thomas, me dit-elle, descends tes mains. Je les avais gardées sur les hanches. — Tu sens quoi ? demande-t-elle. — Rien, pourquoi ? — C’est normal, je n’ai rien dessous. C’est vrai, je palpe les fesses, aucun relief, aucune trace. — T’es gonflée, ta robe est ultra-courte, à ras la chatte ! Ton mari, il en dit quoi ? — Il a intérêt à la fermer. Je sais qu’il a fricoté l’autre soir avec une allumeuse. Je vais lui montrer que, moi aussi, j’ai de quoi allumer les hommes. Et tranquillement de frotter son pubis contre moi. Bien entendu, je réagis, Élodie le sent et m’entraîne progressivement dans l’obscurité. Pas de préliminaires, elle relève sa robe et se retourne, moi je sors ma queue du bermuda et, à la demande de Mélanie, l’enfile directement dans son cul. J’aurais aimé qu’elle braille moins fort, à se demander si elle ne le fait pas exprès. Quand j’ai fini ...