L'enfer de Naira Ch. 10 - Histoires de Sexe

L'enfer de Naira Ch. 10

... faire. Je peux trouver aussi nulle et moins chère que toi. Une employée à peine capable de faire le minimum, mais qui ne me coûtera pas un pont d'or en mutuelle.

Océane, qui ne cesse de pleurer, se lève, se tourne.

- Attends, tu es bien foutue, on dirait.

- Quoi ?

- J'ai dit : « Tu es bien foutue. ». Le visage c'est bof, mais tu as l'air d'avoir un joli corps.

Bon, ce n'est pas vrai, Océane est une très belle fille, mais Pablo Nino aime bien humilier ses futures putains.

- Merci... mais j'aurais préféré un poste.

Il lui fait son sourire le plus pervers. Il s'amuse bien avec cette oie blanche.

- Tu as bien dit que tu ferais tout pour sauver ta mère ?

- Oui, même donner ma propre vie.

- Je ne t'en demande pas autant. Mais il y a bien une place pour toi.

- Laquelle ?

- Non. Tu n'es pas le genre de fille faite pour cela.

- Je suis tous les genres que vous voulez, dont vous avez besoin, si je peux sauver ma mère.

- Pas celui-ci.

- Dites moi monsieur, je vous en supplie...

- Si je le fais, c'est une simple description de poste. Pas une proposition, une promesse ou quoi que ce soit.

- D'accord.

- J'ai besoin d'un vide-couilles.

Océane déride Pablo Nino, qui rigole en voyant sa tête. La petite grue ouvre de grands yeux tout ronds, sa bouche s'ouvre en grand. Elle est choquée par ses mots.

- Quoi ?

- Il me faut un vide-couilles, pour moi et certains de mes amis et proches collaborateurs.

Mille choses passent par la ...

... tête d'Océane, mais la seule qui franchit ses lèvres est :

- Je suis vierge... totalement vierge...

- Bonne chose pour le poste alors, tu pars avec une longueur d'avance si tu postules.

- Si je postule ? ? ?

- C'est la seule chose dont j'ai besoin. Un emploi fictif, mais bien payé. Comme secrétaire, par exemple, mais en fait, tu devras donner ta chatte, ta bouche et ton cul.

- Mon cul ? ? ?

- Oui, ton cul aussi.

- Je ne peux pas.

- Et moi, je ne peux pas te donner un autre poste. Je te fais une fleur, car je ne te trouve pas si bandante que cela, même si tu as ton charme et n'est pas trop mal foutue. Mais bon, je peux avoir mieux, beaucoup mieux vu le salaire et les avantages que je donne. Donc c'est soit ça, soit rien.

Bon, ce qu'il lui dit est totalement faux, la situation le fait tellement bander qu'il risque d'éjaculer sans toucher son chibre à chaque seconde.

Océane, qui n'aime en réalité que les filles, regarde le vieux dégueulasse en face d'elle. Se faire baiser autant qu'il le veut par lui et ses amis, et sauver sa mère. Ou refuser et la condamner. Aussi difficile soit-il, le choix est vite fait pour Océane. Elle est fusionnelle avec sa mère, il n'y a pas d'autre solution.

- S'il vous plaît...

- Je n'ai pas la journée, décide toi.

- Mais je ne verrais plus ma mère...

- Si tu refuses, bientôt, même en France, tu ne verras plus ta mère. Elle travaille ?

- Non...

- Je fournis l'habitation à mes putes et à leur famille. Ta mère ...