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COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 1 (1/2)
Datte: 16/12/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... cul, après des braquages d’une audace folle. Nous braquions, nous nous retrouvions chez lui et nous baisions à couilles rabattues. Certainement l’adrénaline des situations quelques fois à deux doigts de l’irréparable, moi qui devais être présentée à mon futur mari au bal des débutantes de la haute société parisienne. Avec Jean-Bernard, le premier, avant mariage, il m’a tout appris du sexe et de la façon de me comporter lorsque nous faisions un casse. Hélas, un vigile, plus impétueux que les autres lui ayant mis une balle dans le dos alors qu’ils nous étaient arrivés d’en tuer quelques-uns, mais malgré nos masques les yeux bien dans les yeux. Je dois avouer quelque chose, il faut être précise lorsque l’on raconte qui l’on est. Cinq personnes tuées avec lui. Quatre à mon actif et seulement un pour Jean-Bernard. J’adore les voir crever, qui plus est, gratuitement, j’aime leur abréger les vies de merde, qu’ils vivent en gardant l’entrée d’une banque ou d’une bijouterie. Jean-Bernard mort, je me suis calmée quelque temps, m’installant dans ma vie de bourgeoise. Jusqu’à il y a quelques mois, ou j’ai ressenti l’envie d’avoir en moi, ces poussées d’adrénaline que j’avais avant de me croire ranger des affaires. Même, les journaux parisiens, voire nationaux, ne communiquent plus sur Bonnie and Clyde. Le jour où j’ai décidé de recommencer à vibrer, j’ai pris des risques, bien que j’aie laissé passer du temps. Je suis retournée à Montmartre où ...
... nous avions notre planque. Tout était là, même quelques lingots ou diverses devises tirées dans les derniers coups que nous avions faits. Les montres Cartier, Rolex, celles de mon ami Ségasa, plutôt celui de Jean-Bernard. C’est con d’avoir choisi le même prénom, le deuxième, celui qui m’a mis mon alliance entourée de diamants que je viens d’enlever devant ma coiffeuse qui va me servir pour ma transformation. Trace de soleil, j’adore me faire bronzer dans notre résidence niçoise. Je la remplace par une bague à tête de mort en argent, sûrement l’emblème de Josyane Alba que je viens incarner. Dans la planque, tout était là, nous avions, là encore, bien cloisonné nos activités. En plusieurs voyages après que mes nouvelles adresses soient prêtes, j’ai pu transférer divers calibres trouvés dans la cache où nous les entreposions. J’ai même dans mon arsenal, une Kalachnikov prise à des dealeurs de banlieue, lorsqu’un fourgue a voulu doubler Jean-Bernard, le voyou. Bon, je ne vais pas continuer ainsi, vous seriez vite lassé de ce même nom avec deux hommes bien différents, l’un de l’autre. Appelons mon époux Jean-Philippe, c’est le garçon avec qui nous avons fait un coup une fois, il fallait être trois et à qui Jean-Bernard a demandé de me prendre en double pénétration, après ce coup parfait. La sodomie, la double pénétration, je vois mal demander à Jean-Philippe de participer à mes jeux, chaque fois ma peau change dans cette chambre où je viens de ...