1. COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 1 (1/2)


    Datte: 16/12/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Je m’appelle Josiane X, étant donné ce que je vais vous raconter, le X peut se faire comprendre lorsque je vous en révèlerai plus sur mon activité !
    
    Eh puis si, Josyane Alba, même prénom, mais nom différent, c’est normal, c’est mon nom d’emprunt lorsque je suis l’autre.
    
    Tout ceci peut vous paraître confus, mais j’ai besoin de légitimité, de ce que je suis réellement.
    
    La première, femme d’un homme puissant, que j’appellerais Jean-Bernard.
    
    Jean-Bernard, haut fonctionnaire au ministère de l’Intérieur.
    
    Josiane X, bourgeoise de la vie parisienne, satisfaite sexuellement par l’homme qui partage sa vie.
    
    Enfin, presque satisfaite, on verra dans les heures prochaines que lorsque le démon entre en moi, je suis très loin de cette femme dont on dit que je suis, bon chic, bon genre.
    
    Du moins, la deuxième, loin de la première.
    
    Prenons un exemple, ce sera plus simple.
    
    Je marche dans Paris, ayant pris trois taxis pour me retrouver dans un quartier chic de la capitale, bien loin de celui ou je réside, mais tout aussi chic que notre lieu de résidence.
    
    Nous pouvons donner un exemple qui ne coute rien, Josiane X habite près de l’Opéra et se rend dans un immeuble situé dans les 16 arrondissements.
    
    La première, blonde, grosse lunette de soleil, tailleur Dior et tous les accessoires qui vont avec, du sac aux chaussures, style Louboutin.
    
    Si vous allez sur le site de ces chaussures luxueuses, celles à 1095 €, bleues avec des pierres et bien sûr les célèbres ...
    ... semelles rouges, ce sont celles avec lesquelles je me déplace aujourd’hui.
    
    Des chaussures dans mon dressing-room, j’en ai un choix d’environ 200 paires.
    
    Après bien des précautions, ma situation m’interdisant de prendre le métro, pour une femme de ma classe, j’entre dans un immeuble grâce au digicode qui est en ma possession.
    
    Ascenseur, sixième, j’ai fait poser une ouverture avec, là encore, un code d’accès.
    
    Ça peut servir quand je vous raconterai la suite de mes aventures.
    
    Trois pièces, je vais dans la chambre et je me mets nue.
    
    On pourrait dire que je mue comme un serpent.
    
    J’ouvre mon armoire, j’y ai quelques fringues de bourge, la plupart de celles que je ne mets plus.
    
    Un mécanisme, le fond pivote, je rentre dans une autre chambre, moins bon chic, bon genre.
    
    J’ai soigné l’agencement d’une chambre en rapport de l’autre, si par malchance quelqu’un entre dans l’une ou l’autre des pièces, il faut que cela concorde avec qui je suis.
    
    D’un côté « madame propre. »
    
    De l’autre, celle qui s’éclate lorsque le besoin s’en fait sentir, en « madame, elle peut tout se permettre. »
    
    Hier au soir, avec Jean-Bernard, il est plutôt drôle d’appeler mon mari ainsi.
    
    Bien sûr, je cache son vrai prénom comme notre nom de famille.
    
    Jean-Bernard, j’en ai connu un, celui qui m’a dépucelé, m’apportant la deuxième, moi, celle qui vient de rentrer dans une chambre jamais faite depuis que j’ai ma double activité.
    
    Homme beau comme un dieu, qui a su me mettre le feu au ...
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