1. CÉLLULE DE DÉGRISEMENT


    Datte: 15/12/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: DeeWar, Source: Hds

    ... moi qui décide des opérations. J'attends trente secondes, immobile. Il se demande ce qui se passe. Il se cambre bien en arrière à la recherche de mon zob.
    
    Sans prévenir, je lui rentre dedans jusqu'à la garde. Cette fois, il gueule sa life. J'espère que nous sommes seuls car sinon les autres prisonniers vont se demander ce qui arrive.
    
    Il se mord les lèvres tout en acceptant cette défonce virile. Je suis rentré comme dans du beurre. Bordel, ce flic n'en est pas à sa première queue. C'est un vrai garage à bites, là dedans. S'ils sont tous comme ça dans la police, je vais me faire serrer plus souvent.
    
    J'entame mes va-et-vient. À chaque poussée, son trou s'écarte et j'ai même pas à forcer le passage. Ça glisse tout seul. Je lui lime le cul à grands coups de reins, trop excité par le show qu'il vient de me faire. J'ai un agent de la BAC, soumis, au bout de ma queue, une petite pute à arabes. Je lui éclate la rondelle avec de la bonne bite marocaine.
    
    Devant moi, mon représentant des forces de l'ordre est toujours face au mur. Sa respiration haletante est saccadée au rythme de mes coups de bélier. Il a sorti la langue et lèche le mur en bonne chienne soumise.
    
    Je le tire par les cheveux et lui dit:
    
    - Sens bien ce que mes potes du quartier vont faire à ton p'tit cul de PD en uniforme.
    
    Il grogne en guise de réponse. Il est tout à moi. Soumis à ...
    ... mes moindres désirs. Je le lime comme un ouf, mon souffle chaud sur sa nuque, tout en lui murmurant des insultes à l'oreille.
    
    Le flicard tend son cul autant qu'il peut pour bien se carrer ma merguez à fond tout en se branlant en même temps. Il secoue sa nouille comme un dératé. Soudain, il se met à gueuler et je le vois qui ravage le mur de la cellule de son foutre chaud et gluant. Plusieurs coulées épaisses qui recouvrent les insultes du style: « PD de flics, enculés de keufs, nike la police,... »
    
    Bon sang, y a pas intérêt qu'on prélève des échantillons d'ADN sinon il est cuit, mon poulet!!!
    
    Il m'en faut pas plus pour sentir monter mon jus. J'accélère le rythme. Mes hanches sont une vraie machine à baise et je lui pilonne le cul comme si c'était une chatte de meuf. Soudain, je bloque net et me retire. Je le maintiens d'une main contre la paroi pendant que je vise son pantalon. Je décharge toute ma crème sur son froc enroulé à ses chevilles, inondant son uniforme qui doit encore servir toute la nuit.
    
    Il me maudit en se rhabillant mais j'en ai rien à faire. Elle a eu ce qu'elle cherchait, cette pédale.
    
    Je l'entends marmonner dans les escaliers. Je souris intérieurement. Il va se sentir crade et poisseux pendant tout son service. Je contemple une dernière fois le mur maculé du sperme de ma lopsa avant de m'endormir comme une enclume.
    
    FIN 
«123»