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CÉLLULE DE DÉGRISEMENT
Datte: 15/12/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: DeeWar, Source: Hds
Hello les potos, moi c'est Farid, un franco-marocain de 18 ans, dealer des cités dans le Mirail. Je me suis fait pincer par les keufs à deux heures du mat en train de revendre mon shit à un bourge qui sortait de boîte. Les types de la BAC m'ont coincé alors que j'encaissais le fric. Du flagrant délit dans toute sa splendeur. Je me suis fait cueillir comme un bleu. Ils m'ont embarqué, menottes aux poignets, en direction du commissariat. Bon, ce serait pas ma première nuit derrière les barreaux. En parlant de barreau, j'en devine un prometteur entre les cuisses de l'un des deux flics qui m'encadre. Je me retrouve coincé sur la banquette arrière entre un gros d'une cinquantaine d'années qui pue la transpiration et un jeune mec à peine plus âgé que moi qui me colle sans vergogne. Au gré des virages, son genou vient cogner contre le mien et ses mains s'attardent sous sa ceinture utilitaire. Il joue avec la crosse de son flingue avant de descendre en direction de sa matraque. Sa main droite palpe l'intérieur de ses cuisses avec de plus en plus d'insistance. Il part des boules et remonte vers sa braguette qu'il a bien gonflée. Putain, ce mec est en train de m'exciter en présence de son collègue! Je suis pédé comme un foc même si dans la cité personne ne le sait et la vision de ce jeune condé en train de se palucher en toute discrétion, me chauffe grave. Malgré l'obscurité dans la voiture, j'aperçois ses doigts qui jouent avec la fermeture éclair de son pantalon. Il ...
... dézippe lentement sa braguette vers le bas avant de la remonter en faisant bien ressortir sa bosse sur le côté. Elle est longue, grosse, prend du volume à chaque frottement. À force de la malaxer, elle finit par déformer le fin tissu de nylon et cogne contre le cuir du ceinturon. Bon, c'est peut-être moi qui délire mais j'ai la nette impression que ce flic me cherche. Même si je suis menotté, les mains derrière le dos, ce jeune blanc-bec ne va pas s'en tirer à si bon compte. Quand on allume Farid, faut en assumer les conséquences... C'est lui qui me descend au sous-sol et me pousse dans une cellule individuelle. - Je reviendrai te voir, me lance-t-il avant de fermer la porte à double tour. - J'y compte bien, je réponds en forme de défi. Effectivement, mon beau condé se pointe une heure après. Il est canon dans son uniforme bleu-marine. Ses pects sont bien mis en valeur par son polo sombre et son pantalon moule-bite fait bien ressortir des cuisses en béton avec une bosse prometteuse au niveau de l'entrejambe. Pas de doutes, ce jeune coq est un athlète accompli, ça tombe bien parce qu'avec moi, va y avoir du sport. Il entre dans la cellule et commence à se désaper. - Je suis de garde, y a plus personne. Je lui montre la caméra disposée en hauteur, dans un coin de la pièce. - T'inquiète, je l'ai désactivée. Je suis aux anges, je vais pouvoir me défouler sur un keuf super mignon qui n'attend qu'une chose: se faire démonter le boule par un caïd des ...