1. COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (30/32)


    Datte: 14/12/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... conduire.
    
    • Alors moi aussi, tout comme toi je veux te connaître autrement que par une caresse certes très précise, mais prodiguer rapidement dans ce café près de ta banque.
    
    Je marcherais bien, main dans la main avec elle, ne sommes-nous pas déjà dans un climat très intime depuis l’épisode du café.
    
    Alors, là encore, ses bras dessus, bras dessous, que nous rejoignons l’ascenseur de mon hôtel.
    
    Ascenseur, premier baiser avec la langue dans ce premier moment d’intimité et mains nous caressant par-dessus nos vêtements.
    
    Porte qui s’ouvre, n’ayant pas vu que l’ascenseur s’était arrêté un étage au-dessus où nous devions descendre.
    
    Une mémé offusquée de voir deux femmes s’embrasser comme des amoureuses.
    
    Elle qui a dû recevoir son dernier baiser avant la dernière guerre mondiale avec dans les bras l’un de ces vilains toutous, dit à leur mémère.
    
    C’est en pouffant de rire que nous descendons un étage plus bas afin de rejoindre ma chambre.
    
    Hôtel moderne, clef magnétique qui nous fait gagner du temps pour nous retrouver isolés au monde.
    
    Lit aussi moderne et toujours aussi moelleux où je me couche, écartant mes cuisses afin que Magalie trouve mon bouton, mais avec sa langue ce coup-ci.
    
    Ces doigts l’aident aussi, j’en sens trois plutôt que je ne les vois.
    
    Sa tête à l’opposer de moi, qui moi aussi suce et caresse son clito.
    
    Combien dur nos comportements libidineux, je l’ignore, mais ce que je sais c’est qu’elle me fait atteindre l’orgasme comme je lui fais atteindre le sien.
    
    Nous embrassons étant de nouveau côte à côte.
    
    • Ma chérie, je voulais te voir pour faire ce que nous venons de faire avec une telle intensité que j’en suis encore toute retournée, mais j’aurais un service à te demander !
    
    • Je me doutais que ce n’était pas que pour mes beaux yeux que tu m’avais téléphoné…
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