1. Une robe blanche...


    Datte: 14/12/2025, Catégories: Humour init, fh, vacances, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... opérationnel ?
    
    À noter que, pendant ce temps, elle n’a absolument pas ramassé sa serviette et que c’est donc toujours dans le plus simple appareil qu’elle s’adresse à moi.
    
    — Tu as ma culotte ?
    — Vvvvv… Viiii… Oui, en lui tendant le morceau de satin.
    — Ah, tu as pris celle-là… Dommage.
    — Dommage ? Pourquoi ?
    — Parce que moi, tu vois, j’aurais pris quelque chose de, comment dire… Moins serré.
    
    Oui, alors là, si quelqu’un a capté le pourquoi du comment de ce qu’elle vient de me dire, qu’il me téléphone, il aura une photo dédicacée. Elle ré-éclate de rire.
    
    — Heureusement que t’étais là, j’aurais été obligée de me balader les fesses à l’air…
    
    Le pire dans cette histoire, c’est qu’à en juger par le ton qu’elle emploie, quelque chose me dit qu’elle en serait capable, au moins temporairement.
    
    — Sans compter que ce soir, je te rappelle qu’on va au cinéma… T’imagines ce que cela aurait pu donner ? Non, franchement, cela n’aurait pas été sérieux…
    
    Dans cette histoire, il y a déjà un petit moment que je ne sais plus où j’habite mais alors là, c’est le bouquet.
    
    — Cela dit, tu pourrais peut-être me laisser m’habiller ?
    
    Plus je réfléchis, moins je comprends : qu’est-ce qu’elle voulait dire, au juste ? Qu’elle aurait passé sa journée sans dessous ? Oui, et alors ? Ça aurait donné quoi, au final, avec moi ? En attendant, la seule et unique chose dont je sois certain, c’est que pour le moment, à part me la foutre sur l’oreille, je n’ai rien d’autre à faire.
    
    Il ...
    ... n’y a pas de journée dont ne vienne pas le soir, paraît-il. Et le soir, précisément et comme prévu, on se retrouve au cinoche. Quel genre de plan m’a-t-elle réservé, cette bougresse ? Je me pose la question depuis ce matin. Je n’ai toutefois pas très longtemps à attendre puisque, deux minutes après que la lumière se soit éteinte, elle m’attrape la main pour la poser sur son genou. Message reçu cinq sur cinq, comme on dit.
    
    Quoique… La combine de la nana qui t’aguiche plus que de raison avant de te rabrouer devant un public connu en te faisant passer à la fois pour un con et un pervers, c’est un privilège auquel j’ai déjà eu droit et dont je me serais bien passé… Et c’est pourquoi c’est avec une infinie prudence que je remonte le long de sa cuisse jusqu’à ce que je tombe sur une fine barrière de satin. Véronique se penche alors à mon oreille :
    
    — T’y auras mis le temps… J’ai failli attendre.
    
    Pendant cinq secondes, je me demande si j’ai bien entendu, mais il faut bien croire que oui, et je repasse à l’attaque… Sauf que tout ne se passe pas tout à fait comme je le voudrais. Véronique a beau me laisser faire tout ce que je veux, écartant les jambes au-delà du raisonnable ou en soulevant ses fesses du fauteuil pour me laisser le champ libre, je n’arrive à m’immiscer nulle part ! Que ce soit par le haut, par le bas ou sur le côté, pas moyen de glisser ne serait-ce qu’un doigt au niveau de sa boîte à tabac. Quant à lui retirer cette foutue culotte, elle a beau se contorsionner ...
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