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Une robe blanche...
Datte: 14/12/2025, Catégories: Humour init, fh, vacances, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... souvent délavé, défraîchi, déformé et quelquefois même d’une propreté douteuse… Et ça, tu vois, ça a de quoi refroidir le plus acharné des voyeurs. Et les dessous de Véronique, me direz-vous ? Eh bien, j’ai beau consacrer toute mon énergie à essayer de les apercevoir, ben… Elle s’apprête à monter ou à descendre de voiture ? Je m’empresse de lui ouvrir la porte, histoire, à défaut d’autre chose, de profiter du galbe de ses jambes. Elle monte des escaliers ? Selon l’endroit, je suis juste derrière elle ou, tout au contraire, assez loin… Tout est question d’angle de vue. Elle s’approche d’une quelconque rambarde de balcon ? L’on me retrouve aussitôt en dessous et le nez en l’air. Un rayon de soleil farceur est susceptible de jouer avec les transparences de sa robe ? Vite, profiter de l’instant, on ne sait jamais… Et pour quel résultat ? Je vous le demande. Rien, nada, que dalle, nibe, macache ! Franchement, cela vous étonne ? Pourtant, à moins que ce ne soit que le fruit de mon imagination, j’ai quand même bien l’impression que ce n’est pas par hasard qu’elle trouve toujours le moyen de se placer là où un courant d’air est susceptible de faire voler sa robe et me dévoiler une bonne partie de ses jolies jambes. Mais, coïncidence ou pas, quelque chose me dit qu’au train où c’est parti, non seulement je vais repartir avec mon pucelage sous le bras mais, en plus, sans jamais avoir pu apercevoir ne serait-ce qu’un bout de culotte… Et puis, un beau matin, lors d’une ...
... discussion anodine entre deux voisins d’un certain âge, j’intercepte un bout de phrase qui m’interpelle : tous les jours vers neuf heures, Véronique va prendre une douche dans la salle de bain du fond – nous, c’est plutôt celle à droite dans l’entrée – mais, sans doute pour profiter de la totale absence de vis-à-vis ou du délicat parfum des fleurs sauvages ou encore du champ de lavande tout proche, omet régulièrement de fermer la fenêtre. Comment en ont-ils eu connaissance ? Aucune idée. Pourquoi en parlent-ils ? Mystère… Mais vous vous doutez bien que tout cela ne vient pas de tomber dans l’oreille d’un sourd, et je m’en vais aussitôt et de ce pas repérer les lieux. Le lendemain matin, neuf heures moins dix, je me suis dégoté un point de vue qui va me permettre de l’observer sans être repéré… Comment ça, ce n’est pas très reluisant ? Certes, mais faute de grives, on mange des merles. Sauf que mon poste d’observation est en réalité loin d’être topissime et que je ne vois pas grand-chose ! Enfin si, juste assez pour découvrir que, bien qu’elle vienne de déjeuner avec nous, elle ne porte manifestement pas de culotte sous sa courte chemise de nuit, qu’elle a de très jolis seins – ça, je le savais déjà mais voir les deux en même temps, cela vous change la vie – et cette tache sombre en bas de son ventre me laisse à penser que sa toison est aussi brune que fournie mais, pour le reste, c’est… Compliqué. Dès lors, que faire ? Rester là comme un con ou m’approcher et risquer de me ...