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Mireille 04: Une Humiliante Lessive
Datte: 09/12/2025, Catégories: Contrôle Mental, Auteur: Lyliom, Source: Literotica
... complicité involontaire de mon epoux!... Mais comment me révolter sans risquer qu'lle révèle tout? J'etais prise au piege. En me retournant, je dus dire en saisissant la panière: « Pardon, je n'avais pas réalisé... laissez moi vous aider » Elle sourit crânement, manifestement ravie de la situation « Merci!...Vous êtes un amour, mon cœur. Quelle chance j'ai d'avoir une voisine si douce, si... aimable!... » Elle insistait sur les mots, me faisant rougir, alors même que son sourire déclenchait en moi un nouveau frisson d'horreur. Dés que j'eus la panière dans mes bras, la honte empira Elle était remplie de linge de corps : Sous vêtements, culottes, gaines, bas, chaussettes, débardeurs, soutiens gorge Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'ils avaient tous besoin d'être lavés : Il émanait de la panière une odeur corporelle puissante, qui ne m'avait pas frappé jusque là, dans les courants d'air de la porte d'entrée... Mélange de toutes ces choses portées à même la peau, sans doute très -trop- longtemps... Après avoir humé malgré moi, je bloquai ma respiration, écoeurée, puis me retournai vivement pour ne pas lui donne la satisfaction de lui laisser voir ma grimace de dégoût... Et je repartis à grands pas en direction de la buanderie, bien décidée à abréger l'humiliante expérience... Mais pourtant, malgré moi, sur le chemin, je me surpris à ralentir le pas... Je humai de nouveau les parfums lourds émanant de la panière... Y puisant une sourde ...
... griserie. Les effluves évoquaient un peu celles de ce maudit pot... Celà fit naître en moi une sensation étrange de bien être vague teinté d'un vague trouble Comme je tournais le dos à Mireille, elle ne pouvait voir mes gestes Alors subrepticement, je pris une grande respiration au dessus de la panière, en pensant que cette vieille bique ne devait pas se laver tous les jours, loin de là... Et la sensation gagna alors en puissance! Je devins comme rêveuse, un peu molle, et quand j'ouvris la porte du petit réduit qui servait de buanderie, et posai la panière sur la machine, elle me suivit, se collant à moi pour pouvoir fermer la porte derrière elle! Nous étions toutes deux figées dans une position absurde: Serrées l'une contre l'autre dans l' espace confiné, coincées entre la machine et la porte. L'air se remplit des effluves émanant de la panière de linge sale. Les seins lourds de Mireille appuyaient dans mon dos à travers ma mince robe d'été légère, et le nœud qui fermait sa robe de chambre s'était niché dans la creux de mes fesses!... Je n'osais plus bouger, tétanisée! Et des effluves immondes continuaient à monter du monceau de linge posé devant moi : Odeurs mêlées de sueur rance, d'urine et d'autres, pires encore... plus secrètes, plus abominables. Plus animales J'étais paralysée par la stupeur et la gêne. Je ne savais que faire: Je ne pouvais me baisser pour ouvrir la porte de la machine sans pousser encore plus mes fesses contre le ventre de la ...