La Domestique (Partie 4) - Histoires de Sexe

La Domestique (Partie 4)

... la semence qui suintait de sa chatte, mais elle avait trop peur de se faire disputer pour prendre le temps d'une ablution.

Lorsqu'elle revint dans la cuisine, son cœur s'emballa en constatant que le majordome l'attendait, assis à la grande table. Madeleine était absente et cela ne rassura pas la jeune femme.

- Jeune fille, nous avons à parler

- Heu, je suis désolée d'avoir mis autant de temps, ce n'est pas de ma faute.

- Calme-toi, c'est d'autre chose que je veux te parler. Prends une chaise et assieds-toi.

Le quinquagénaire avait le regard grave et elle eut un peu peur, ignorant de quoi il voulait lui parler. Prenant une chaise de l'autre côté de la table, elle s'assit et attendit que l'homme lui parle.

- Tu sais Alice, je tiens à te dire que même, si parfois je peux être bougon, je ne suis pas méchant.

- Oui je le sais, Monsieur, mentit la jeune femme.

- Et lorsque je t'ai demandé de garder tes distances avec Monsieur Éric, c'est que j'avais mes raisons.

- Oui je comprends, je suis une domestique et lui c'est le maître.

Le majordome resta silencieux quelques secondes avant de reprendre.

- Ce n'est pas pour ça que je t'ai demandé une telle chose. De toutes les filles qui se sont succédé à ton poste, tu es peut-être celle à qui je me suis le plus attachée...

La jeune femme fut surprise par les propos de l'homme. Jusqu'à présent, il l'avait souvent rabroué et rien ne laissait penser qu'il l'avait en estime.

- Comment ça? ...

... demanda-t-elle

- Je me suis mal exprimé, je veux dire que je te considère un peu comme ma fille, même si je suis célibataire. En fait, je ne voudrais pas qu'il t'arrive des misères...

Alice était perdue, ne comprenant pas ce que voulait dire l'homme. Le majordome avait failli faire un impair et même s'il essayait de ne pas le montrer, la jeune femme ne le laissait pas indifférent.

Son corps parfait et sa tenue de servante très sexy n'étaient pas étrangers à ce qu'il ressentait. Il y avait quelque chose d'envoûtant qui se dégageait d'elle, et il était tombé sous son charme sans vraiment s'en rendre compte.

- Comme tu le sais, ton amie Amandine n'est restée qu'une semaine ici. Je ne connais pas la raison de son départ, ni où elle a été, mais il y a une chose que je sais. Les derniers jours, juste avant de partir, elle était heureuse, comme amoureuse...

- De qui?

- Je crois que c'était de monsieur Éric, et que son départ est peut-être lié à ça.

La jeune femme avait du mal à comprendre où voulait en venir le majordome. Comment pouvait-il incriminer le fils des propriétaires alors qu'il travaillait pour eux depuis si longtemps.

- Elle est sûrement partie parce qu'il n'était pas amoureux d'elle, finit-elle par dire

- Peut-être... Mais...

- Mais?

- Non, je n'ai pas de preuves et je ne voudrais pas être médisant.

- S'il vous plaît, Amandine était mon amie et je la considérais comme ma sœur. J'aimerais bien la revoir un jour, aussi, si vous avez des informations la ...