La Domestique (Partie 4) - Histoires de Sexe

La Domestique (Partie 4)

... mouilles déjà? Tu aimes lorsque je te touche ainsi

- Heu... oui, un peu...

- Non, moi je dirais que tu adores, lui répondit-il en riant

Sachant que c'était son point faible, il la caressa un instant pour la rendre plus réceptive à ses paroles. Lorsqu'il cessa de la doigter, ce fut pour lui demander de regarder chaque photo et de prendre son temps pour lire les commentaires. D'abord réticente, les attouchements du jeune homme l'avaient tellement excitée qu'elle finit par lui obéir.

En fin de compte, à part quelques individus plutôt graveleux sans être méchants, tous les autres l'encensaient. Elle était la plus belle, avait un corps magnifique et était un fantasme dans la plupart des cas. Ses jambes, ses seins, son ventre, ses fesses et même son sexe étaient régulièrement évoqués pour être systématiquement complimentés.

Étrangement, la colère d'Alice s'estompa et tout en parcourant les photos et les annotations, elle sentit une excitation s'emparer d'elle. Elle faisait de l'effet et en était très fière. Ce corps admiré par tous ces inconnus était le sien, et elle finit par aimer les propos qu'ils tenaient, sans trop savoir pourquoi.

Eric, en la sentant se décontracter, se remit à la caresser, excité lui aussi par les photos qu'il voyait.

- Tu vois bien que ton corps plaît et que cela aurait été dommage que Marc ne les poste pas.

- Heu! je ne sais plus

Tout en disant cela, Alice, que les caresses ne laissaient pas de marbre, ne put s'empêcher de ...

... s'affaler sur l'épaule du jeune homme tout en ouvrant en grand ses cuisses.

Sentant son érection devenir douloureuse, il ordonna à la jeune femme d'aller s'allonger sur le lit.

- Maintenant? Mais, Monsieur François m'attend!

- Je l'emmerde François, va t'allonger, tu m'as trop chauffée.

Alice en avait elle aussi envie et, oubliant la demande du majordome de ne pas s'éterniser, se leva et alla s'allonger sur le lit, écartant d'office les cuisses. Même si elle n'avait été dépucelée que la veille, elle était devenue dépendante du sexe et elle adorait faire l'amour.

Éric ne mit pas longtemps pour retirer son caleçon et rejoindre la jeune femme. Il avait trop envie d'elle pour perdre du temps en préliminaire, l'ayant déjà bien préparée alors qu'elle était sur ses genoux.

D'un coup de rein puissant, il la pénétra complètement, la faisant crier de plaisir. Comme il l'avait fait la nuit précédente, il la prit de façon bestiale, piochant dans le jeune corps sans savoir si elle appréciait. Il avait juste envie de se vider les couilles, ce qui plut à Alice qui ne demandait que ça.

Les deux jeunes jouirent presque en simultané, se serrant ensuite l'un contre l'autre pour apprécier ce moment. Ce fut Éric qui repoussa en premier la jeune femme.

- Tu ne m'as pas dit que François voulait que tu reviennes rapidement

- Heu... oui... c'est vrai. Je dois y aller.

La jeune femme sauta du lit et se dépêcha de sortir, ne prenant même pas le temps de se laver. Elle avait de ...