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Deux copines de fac en pleine révision
Datte: 07/12/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Marcel1001, Source: Hds
... quelques minutes plus tard, le regard légèrement fuyant, les cheveux encore humides. Ils avaient un air complice. Chacun savait que l’autre savait. Dans le salon, c’est Evy qui lança le mouvement. « Tu veux voir ? » demanda-t-elle à voix basse à son copain, presque dans un souffle. Elle parlait de la vidéo, évidemment. Il hocha la tête, et ils s’installèrent sur la méridienne, un plaid sur les genoux, comme deux adolescents dans une cachette. L’image était belle. Tremblée, mais précise. Leur sexe en mouvement, capté dans une lumière dorée. Son ventre qui se soulevait. Les gémissements étouffés. Elle appuya sur pause à un moment où l’on voyait la pénétration nette, luisante, tendre. Elle sourit. Ils ne s’étaient pas rendu compte que Ruth s’était approchée. L’instant était suspendu. Elle tendit alors son propre téléphone, dans un geste sans gêne. « J’ai filmé aussi », murmura-t-elle. Ils regardèrent ensemble, en silence. Le cadrage était plus brut, mais l’image encore plus troublante : la caméra tremblait légèrement, et l’on voyait, de très près, la verge pénétrer lentement son buisson roux, humide, gonflé. Elle poussait des soupirs rythmés, les yeux fermés, la main libre posée à plat contre le mur. L’image disait tout : le plaisir, l’abandon, la confiance. Les regards se croisèrent. Il n’y avait ni comparaison, ni jalousie, juste un accord tacite, un consentement muet à cette beauté partagée. Les corps, filmés, devenaient langage: une langue fluide, primitive, ...
... mais sans obscénité. Quelqu’un proposa de monter. Il n’y eut pas de débat. Juste quatre corps qui se levèrent ensemble. Ce ne serait pas une orgie, ce serait autre chose. Une mise en commun. L’escalier grinça sous leurs pas. Aucun mot. Ils remontèrent dans la chambre du fond, là où les draps étaient encore froissés du matin. La lumière avait tourné, plus rasante, dorée, caressant les murs pâles et le parquet blond. Evy s’allongea la première, nue, les cuisses à peine refermées, son sexe encore sensible. Il s’agenouilla à côté d’elle, la couvrit de baisers, lents, sur les hanches, le ventre, les seins. De l’autre côté du lit, Ruth s’approcha, s’assit à califourchon sur son copain, face à lui, les bras autour de son cou. Ils s’embrassèrent longtemps, profondément, comme s’ils se retrouvaient après une interminable séparation. Le souffle monta doucement, sans précipitation. Les gestes restaient fluides, curieux, tendres. C’était un enchevêtrement de regards croisés. Ruth glissa une main vers Evy, l’effleura entre les jambes, en silence. Elle la laissa faire, yeux mi-clos, corps offert. Le copain de Ruth s’approcha aussi, posa les lèvres sur le creux de son dos, puis plus bas. Evy se retourna, se plaça à quatre pattes, comme dans le souvenir filmé. Le copain de son amie se plaça derrière, la saisissant par les hanches avec douceur. Il la pénétra lentement, leurs souffles se mêlèrent. Face à elle, Ruth s’approcha encore, et caressa ses seins, sa bouche, puis tentât de ...